La Police étudie Toujours Le Rapport De Natalius Pigai Sur Le Discours De Haine
JAKARTA - La police nationale a déclaré qu’elle étudiait le dossier de signalement contre Natalius Pigai concernant l’affaire présumée de discours de haine. L’objectif est de déterminer l’étape suivante.
« (Le rapport) a été reçu, étudié par les enquêteurs, bien sûr, des mesures ont été prises par les enquêteurs pour recueillir des preuves pertinentes afin d’évaluer s’il y avait un crime ou aucun crime », a déclaré aux journalistes le chef du Bureau de l’information publique (Karo Penmas) de la Division des relations publiques de la police, le général de brigade Rusdi Hartono, mercredi 6 octobre.
Si, plus tard, il est jugé qu’il y a une infraction criminelle, l’équipe d’enquête commencera à mener une série d’enquêtes. Par exemple, vérifier le rapport jusqu’à ce qu’il soit signalé plus tard.
Toutefois, s’il n’y a pas d’infractions contraires ou d’absence de violation, bien sûr, le processus de traitement ne sera pas poursuivi.
« S’il y a un crime, le processus se poursuivra, s’il n’y a pas de crime, l’enquêteur ne continuera pas », a déclaré Rusdi.
D’autre part, Rusdi a déclaré que jusqu’à présent, il n’y avait pas eu de calendrier d’inspections, que ce soit de la part de la partie déclarante ou de la partie déclarante. « Pas encore », dit-il simplement.
Auparavant, l’ancien commissaire de la Commission nationale des droits de l’homme, Natalius Pigai, avait été officiellement signalé à l’Unité des enquêtes criminelles de la Police nationale concernant des propos haineux. Natalius a été signalé pour un tweet lié à Jokowi et Ganjar Pranowo via le compte Twitter @NataliusPigai2.
Dans ce tweet, Natalius Pigai a écrit un appel à ne pas croire aux habitants de Java central, Jokowi, et au gouverneur de Java central, Ganjar Pranowo.
Dans le rapport enregistré sous le numéro LP/B/0601/X/2021/SPKT/BARESKRIM POLRI, le plaignant inclut des éléments de preuve. L’un d’eux est une capture d’écran du tweet du compte.
Dans ce rapport, Pigai est accusé d’avoir violé l’article 45 A paragraphe (2) en liaison avec l’article 28 paragraphe (2) de la loi de la République d’Indonésie numéro 19 de 2016 concernant les amendements à la loi de la République d’Indonésie numéro 11 de 2008 concernant l’information et les transactions électroniques et/ou l’article 156 du Code pénal et/ou l’article 16 Jo article 4 lettre (b) paragraphe (1) RI Loi n° 40 du 2008 concernant l’élimination de la discrimination raciale et ethnique et/ou l’article 14, paragraphe 1, paragraphe 2, du Code pénal.