Publié à L’origine Sous Le Nom De Palais Royal Nommé Laskar Merah Putih
JAKARTA - L’affaire de fraude de Keraton Agung Sejagat est toujours sous la gestion de la police. D’après l’examen temporaire, on sait que ce palais n’était à l’origine qu’une organisation communautaire appelée Laskar Merah Putih.
Chef des relations publiques de la police centrale de Java Kombes Iskandar Fitriana Sutisna a déclaré que la formation de Keraton Agung Sejagat a commencé il ya deux ans. À cette époque, Toto Santoso et Fanni Aminadia recrutaient plusieurs personnes pour devenir membres de la communauté des Red and White Warriors.
Cependant, depuis fin décembre 2019, ils se sont imposés comme rois et impératrices et ont transformé l’ordre en keraton Agung Sejagat.
« Dans un premier temps, il a dit à partir de la déclaration des témoins de la victime n’est pas royale, mais Laskar Merah Putih, » Iskandar dit VOI lorsqu’il a été contacté le mardi, Janvier 21.
Les gens qui ont rejoint ce palais sont de plus en plus. Ils dérangent la communauté parce qu’ils organisent un certain nombre de rituels dans les lieux publics. Selon ce rapport, l’affaire a été suivie d’effet par la police.
De l’interrogatoire d’un certain nombre de témoins, Toto et Fanni ont cherché le bénéfice des personnes qui ont rejoint ce palais. Toto et Fanni leur demandent de l’argent.
En outre, Toto et Fanni prévoient d’étendre leur réseau à l’étranger. Ils demanderont également une aide financière à l’ONU et à la Suisse.
Toto Santoso et Fanni Aminadia ont été arrêtés par des membres de la Direction des enquêtes criminelles publiques de la police centrale de Java, mardi 14 janvier, vers 18 heures.m.
À la fin de cette arrestation, la police a confisqué un certain nombre de preuves, y compris de faux documents relatifs au recrutement de membres du palais.
D’après les résultats de l’examen, leurs actes sont jugés répondre à l’élément criminel de la fraude. Ainsi, pour toutes leurs actions, elles sont prises au piège par l’article 14 de la loi n° 1 de 1946 et l’article 378 du Code pénal.