Les Procureurs Hésitent à Demander à Des Témoins De Soulager L’affaire De La Foule Petamburan De Rizieq Shihab
JAKARTA - L’équipe des procureurs a décidé de ne pas interroger les témoins sur l’affaire de foule présumée et la violation du protocole de santé à Petamburan contre l’accusé Rizieq Shihab et cinq anciens responsables de la FPI.
La raison en est que l’équipe de procureurs a examiné les témoins des faits et les experts qui ont été présentés au procès précédent qu’ils avaient clairement donné leur témoignage.
À l’origine, les deux témoins présentés par Rizieq Shihab, entre autres, étaient le Président du Front indonésien des chevaliers, Zainal Arifin, et l’ancien chef du FPI indonésien Hilal Merah Indonesia, Ali Al Hamid.
« Nous, du ministère public, avons fourni suffisamment de témoins, y compris des experts. Parce que cela a été présenté par un conseiller juridique, nous ne voulons pas poser de questions », a déclaré le procureur lors du procès au tribunal de district de Jakarta Est, lundi 3 mai.
Puis, le juge président Suparman Nyompa qui a entendu la déclaration de l’équipe de procureurs a de nouveau confirmé la décision.
« Donc, le procureur ne pose pas de questions? », a demandé Suparman Nyompa.
« Oui », a répondu le procureur.
Puis, le juge président a décidé de poursuivre le procès. Le témoin Zainal a été invité à expliquer la mise en œuvre des prokes à l’anniversaire du Prophète et la fête de mariage de la fille de Rizieq Shihab.
« Peuvent-ils tous être utilisés avec des masques? », A demandé le juge
— Utilisez tous les masques, dit Zainal.
« Parce que nous avons effectivement déployé nos officiers pour distribuer des masques », a poursuivi Zainal.
Dans la violation présumée du protocole de santé à Petamburan, Rizieq Shihab a été accusé d’incitation à l’apparition d’une foule au mariage de sa fille ainsi que de commémorer l’anniversaire du Prophète. Cette foule se déroule au milieu de la pandémie COVID-19.
Rizieq a été accusé d’avoir violé l’article 160 du Code pénal en conjonction avec l’article 93 de la loi numéro 6 de 2018 concernant la quarantaine sanitaire, conjointement avec l’article 55 du paragraphe 1 à 1 du Code pénal et ou de l’article 82 paragraphe 1, conjointement avec l’article 59 paragraphe 3 lettres c et d Loi numéro 16 de 2017 concernant l’organisation communautaire jo Article 55 paragraphe 1 à 1 du Code pénal en conjonction avec la lettre de l’article 10 b du Code criminel en conjonction avec l’article 35 du paragraphe 1 du Code criminel.