Thaïlande : Ministre exécuté par la Thaïlande : Ministre exécuté par mon intégralité
JAKARTA - La Première ministre thaïlandaise Srettha Thavisin répond à la décision de la Cour constitutionnelle alias de la Cour constitutionnelle qui s’est licenciée pour violation éthique en nommant un ministre purgeant une peine de prison alias détenu
« Je suis triste d’abandonner mon poste de Premier ministre qui est considéré comme inéthique », a déclaré Srettha à la Chambre du gouvernement.
« J’exerce mes devoirs avec intégrité et honnêteté », a-t-il ajouté.
Le vice-Premier ministre Phumtham Wechayachai devrait être premier ministre intérimaire.
Srettha a défendu sa nomination contre l'ancien avocat de Shinawatra, Pichit Chuenban, qui a été emprisonné pour insulte judiciaire en 2008 pour tentative présumée de dissuasion de personnel.
Mais les allégations de corruption n’ont jamais été prouvées et Pichit est entrée en fonction en mai.
Taipan immobilier Srettha est devenu le quatrième Premier ministre thaïlandais en 16 ans à être licencié sur la base d’une décision de la même cour, après que le juge ait décidé du licenciement du Premier ministre thaïlandais pour ne pas s’acquitter de ses fonctions de manière intégrale.
La destitution de Srettha après moins d’un an au pouvoir signifie que le parlement doit se réunir pour élu un nouveau Premier ministre, avec des perspectives d’incertitude accrues dans un pays qui a subi un coup d’État depuis deux décennies et des décisions de justice qui ont renversé de nombreux gouvernements et partis politiques.
« Le tribunal a décidé de 5-4 (la composition de la décision du juge, ndlr) que l’accusé a été licencié de Premier ministre en raison d’un manque d’honnêteté », a déclaré le juge, soulignant que son comportement « viole gravement les normes éthiques » rapporté par Reuters, mercredi 14 août.
La décision souligne le rôle important de la justice thaïlandaise dans la politique, avec le même tribunal l’année dernière dissous le Parti anti-pauvreté Move Forward après avoir décidé de sa campagne pour réformer des lois qui interdisent les insultes à l’empire qui risquent de nuire à la monarchie constitutionnelle.