Audrey Davis ne savait pas qu'une amante ait enregistré des scènes chaudes à plusieurs reprises
JAKARTA - Audrey Davis serait incapable de savoir si son relation physique avec l’homme avec les initiales AP, qui était encore amant, a été capturée dans des séquences vidéo.
Le chef des relations publiques de la police de Metro Jaya, Kombes Ade Ary Syam Indradi, a déclaré que le suspect de l’AP n’avait jamais demandé de permis d’enregistrer ou d’être approuvé par Audrey Davis.
« Lorsque l’enregistrement n’était pas inconnu, pas autorisé par des témoins de AD », a déclaré Ade aux journalistes lundi.
En fait, l’action secrète du suspect enregistré une scène « chaude » avec Audrey Davis a été menée à plusieurs reprises.
Pour les enquêteurs, le suspect de l’AP, qui est un ancien amant d’Audrey Davis, a admis que la vidéo était réalisée à son domicile.
« Le processus de fabrication de cette vidéo, cette enregistrement, a été effectué par le suspect AP à plusieurs reprises au domicile du suspect AP », a déclaré Ade.
Pendant ce temps, le directeur des enquêtes criminelles spéciales de la police de Metro Jaya, Kombes Ade Safri Simanjuntak, a déclaré à partir d’une série d’examens qu’il y avait le fait que la vidéo sévère avait été délibérément enregistrée le 19 décembre 2022.
Le suspect de l’AP a délibérément diffusé du contenu pornographique aux médias sociaux en raison d’un chagrin d’aumône à Adrey Davis.
« Le motif du suspect de se propager était que le suspect était désolé après avoir été décidé comme amant par un témoin AD », a déclaré Ade.
« Pour que le suspect veuille embarrasser l’AD en diffusant une vidéo téléchargée de civils ou de pornographie en question », a-t-il poursuivi.
Actuellement, le suspect AP est détenu au domicile de détention de la police de Metro Jaya.
Dans ce cas, il a été accusé de l’article 27, paragraphe 1, et de l’article 45, paragraphe 1, de la loi n° 1 de 2024 concernant le deuxième amendement à la loi n° 11 de 2008 relative à l’ITE et/ou à l’article 4, paragraphe 1, et à l’article 29 et/ou à l’article 7 jo article 33 de la loi n° 44 de 2008 relative à la pornographie.