Le Qatar et l'Égypte menacent du Hamas s'ils n'ont pas accepté un cessez-le-feu

JAKARTA - Les autorités du Qatar et d’Égypte, sous la direction du gouvernement américain, ont menacé les dirigeants du mouvement palestinien Hamas de possibles détentions, gel de biens, sanctions et expulsions de réfugiés de Doha s’ils n’approuvent pas un traité de cessez-le-feu avec Israël, rapporte le Wall Street Journal, citant plusieurs sources. Mais le rapport cite que ces efforts portent effet à l’opposé : le Hamas a déclaré qu’il n’approprierait pas un accord qui ne répond pas aux exigences. La semaine dernière, le président américain Joe Biden a déclaré qu’Israël avait proposé le Hamas d’une proposition en trois étapes avec une feuille de route menant à la fin de la violence dans la bande de Gaza et à la libération d’obtention des otages.

Les premières phases de l'accord comprennent un cessez-le-feu total, le retrait des troupes israéliennes de tous les centres de population de Gaza et la libération de plusieurs otages détenus par le Hamas, y compris les blessés, les personnes âgées et les femmes, ainsi que la libération de Palestiniens détenus de prisons. La deuxième phase implique une fin indéfinite des hostilités en échange de la libération des otages restants, et la troisième phase de cette initiative vise à déclencher une reconstruction de Gaza touchée par la guerre.