La police de Jayapura arrêté un escroquer qui s’est déguisé en policiers et a violé sa victime
SENTANI - La police de Jayapura Resort (Polres) a arrêté un escroquer qui a également violé un certain nombre de ses victimes en se cachant comme policier.
Le chef de la police de Jayapura AKBP Fredrickus WA Maclar Llyen a déclaré que les initiales DJ (26) étaient un récidiviste et était sorti dans l’institution d’alerte à deux reprises.
« Cette affaire a été révélée après que la victime avec les initiales GN (20) a signalé l’incident vécu le 17 février 2024. Le mode de l’agresseur utilise un faux compte avec le profil des membres de la police, a ensuite invité la victime à se retrouver et a ensuite saisi des articles et violé la victime », a-t-il déclaré, cité par ANTARA, lundi 8 avril.
Selon le chef de la police, l’agresseur, lorsqu’il est dans un endroit désigné pour se rencontrer, sera ensuite blâmé d’attendre la même personne connue pour la victime via Facebook.
« Même s’il s’agissait d’un policier, puis invitez la victime ensemble à le rencontrer. C’était la police de l’agresseur d’amener la victime dans un endroit calme et de lancer immédiatement son action », a-t-il déclaré.
Il a expliqué qu’après une enquête, l’agresseur a été arrêté par le Centre d’enquête criminelle de la police de Sentani Est le 5 avril 2024.
« L’agresseur a admis avoir commis huit crimes, où six fois les crimes de ses victimes ont été violés, tandis que deux fois les victimes n’ont pas été violées pour se battre », a-t-il déclaré.
Après qu’il a retracé les traces de l’agresseur, il s’est avéré qu’il y avait cinq rapports de police liés à ses actes criminels dans la police d’East Sentani, de sorte que cette affaire continuera d’être développée.
Les preuves saisies comprenaient une moto HondaBeat, une unité de téléphone portable appartenant à la victime, une barbe de machette utilisée par l’agresseur lors du lancement de son action.
L’auteur de l’Ouest (26) sera accusé de l’article 285 du Code pénal avec la menace d’une peine maximale de 12 ans de prison et de l’article 356, paragraphe (1), du Code pénal avec la menace d’une peine maximale de neuf ans de prison.