L’Union européenne s’est prononcée pour une nouvelle aide d’une valeur de 852 billions de roupies pour l’Ukraine après le veto de la Hongrie en décembre

JAKARTA - L’Union européenne a approuvé une nouvelle aide à l’Ukraine d’une valeur de plus de 852 billions de roupies, après avoir déjà été maintenue en raison du veto de la Hongrie lors de la réunion en décembre dernier.

Les dirigeants de l’UE ont accepté à l’unanimité de fournir une nouvelle aide à l’Ukraine de 50 milliards d’euros (Rp852 090 355 500 000). Cela a été conclu après que les dirigeants du bloc ont demandé à la Hongrie de lever son bloc.

« Nous sommes d’accord. Unité », a déclaré le président du Conseil européen Charles Michel dans un post dans X, rapportant Reuters le 1er février.

« Les 27e dirigeants ont approuvé un ensemble de soutien supplémentaire de 50 milliards d’euros pour l’Ukraine conformément au budget de l’UE », a-t-il poursuivi.

Les détails du fonds approuvé comprenaient 33 milliards d’euros sous forme de prêts, ainsi que 17 milliards d’euros qui constituent une aide inutile retournée, obtenue à partir d’actifs russes gelés, citant CNN.

Pendant ce temps, le président ukrainien Volodymyr Zelensky a exprimé son soutien à la décision après son annonce.

« Merci à Charles Michel et aux dirigeants de l’UE d’avoir mis en place une installation ukrainienne d’une valeur de 50 milliards d’euros pour 2024-2027 », a-t-il tweeté.

« Il est très important que la décision soit prise par les 27 dirigeants, ce qui prouve une fois de plus une forte unité de l’UE », a-t-il poursuivi.

« Un soutien financier durable de l’UE à l’Ukraine renforcera la stabilité économique et financière à long terme, ce qui n’est pas moins important que de l’aide militaire et de la répression des sanctions contre la Russie », a déclaré le président Zelensky.

L’accord a été conclu après des semaines de différends avec le Premier ministre hongrois Viktor Orban, qui a vu son veto le colis d’aide en décembre dernier.

Bien que donner le feu vert, l’Union européenne ne divulguera pas les données de l’UE sur le pays gelé par Bruxelles, au milieu des préoccupations concernant les droits de l’homme.