Selebgram Jessica Forrester Arrêtée Pour Une Affaire De Drogue Non Emprisonnée Mais Réhabilitée à Bali

DENPASAR - Selebgram Jessica Forrester de Jakarta qui est tombée sur une affaire de stupéfiants de méthamhétamine n’a pas été jetée dans une cellule de maison de détention (rutan) mais a été immédiatement réhabilitée à la Bali Samsara Medical Rehabilitation Foundation. La réhabilitation est en cours depuis août 2021.

Le porte-parole ou relations publiques du tribunal de district de Denpasar (PN), Bali, Putu Gede Astawa a confirmé la réhabilitation de Jessica Forrester. Selon lui, réhabilitation sur l’évaluation de la province de BNN Bali.

« Oui (en réadaptation).  Par BNN Bali Province après l’évaluation a conclu à être réhabilité parce qu’il était un toxicomane. Donc, depuis le processus dans la police, vers le mois d’août, une demande a été soumise pour mettre Jessica en réadaptation », a déclaré Astawa le mercredi 15 décembre.

Cette demande a été soumise au juge en chef qui l’a ensuite acceptée en plaçant Jessica Forrester en réadaptation.

« Allez directement en réadaptation. Il a donc été arrêté directement dans la zone de réhabilitation », a-t-il déclaré.

La raison pour laquelle BNN Bali fait de la réadaptation est parce que Jessica Forrester est une toxicomane. Alors que l’affaire est toujours en cours d’audition à PN Denpasar.

Jessica Forrester a été arrêtée dans la villa d’élite sur Kerobokan Village Road, North Kuta, Badung le vendredi 9 juillet. La preuve saisie est un clip de méthamdétamine d’un poids net de 2,95 grammes.

Il existe également un clip contenant 3 comprimés jaunes contenant de la méthamthétamine d’un poids net de 1,05 gramme, dont 0,78 gramme de poudre de méthamthétamine.

« Avec un total de 4,78 grammes de preuves de méthamthamdétamine », a déclaré le chef du BNNP Bali, le général de brigade Gde Sugianyar Dwi Putra, mardi 13 juillet.

Jessica Forrester et le gérant d’une boîte de nuit à Bali ont été désignés comme suspects. Tous deux sont pris au piège de l’article 112, paragraphe 1, et de l’article 132, paragraphe 1, de la loi n° 35 de 2009 sur les stupéfiants.