La révocation du président de la Commission électorale générale (KPU), Hasyim Asy’ari, par le Conseil honoraire des organisateurs d’élections (DKPP) est un impact dur sur l’intégrité des institutions électorales en Indonésie. Cette décision démoli l’image de la KPU en tant qu’institution indépendante et renforce la confiance du public dans le processus et les résultats de l’élection présidentielle de 2024.
Hasyim Asy’ari a été licencié à la suite de violations présumées de l’éthique et de cas immoraux impliqués dans lequel il était impliqué. DKPP a déclaré que cette décision était basée sur des preuves solides et des considérations maturees pour maintenir l’intégrité et la dignité des organisateurs de l’élection.
L’affaire a fait surface après l’émergence d’un rapport d’une femme prétendant avoir été victime d’abus sexuels par Hasyim. Non seulement une fois, mais à plusieurs reprises, Hasyim aurait commis l’acte imprudent. La victime a amené cette affaire dans le domaine du droit et de l’éthique, devenant ainsi un centre d’accent du public.
Le contexte de Hasyim en tant que figure avec de nombreux titres académiques et postes importants à la KPU, a rendu ce scandale encore plus effrayant. Un certain nombre de parties ont exprimé leurs déceptions, dont le politicien du PKS, Mardani Ali Sera, qui a qualifié cette affaire d’un impact dur pour la KPU. Il a souligné que les responsables de la KPU doivent avoir une grande intégrité et qu’aucun ne devrait plus être élevé sur la base d’ordonnances ou de compromis politiques.
Le président Jokowi, dans sa déclaration, a déclaré que le processus administratif de démission de Hasyim était en cours et a veillé à ce que les élections régionales de 2024 se poursuivent de manière honnête et équitable. C’est important étant donné que Hasyim joue un rôle important dans la phase électorale en cours. Cependant, cette décision de démission soulève diverses questions sur l’éthique et la morale des fonctionnaires de l’État. L’affaire Hasyim ne soit qu’un de nombreux cas de violations éthiques qui perturbent le visage du gouvernement et des institutions de l’État. Cela montre de graves problèmes dans la gouvernance et l’application de la discipline.
La décision du DKPP d’abandonner Hasyim Asy’ari devrait être un élan pour le gouvernement à l’introposibilité et à l’amélioration du système de sélection et de surveillance des fonctionnaires. L’éthique et la morale doivent être les principales bases pour la nomination de fonctionnaires de l’État, pas seulement pour répondre aux exigences administratives ou politiques.
En outre, cette affaire souligne l’importance de l’éducation éthique pour les fonctionnaires. Beaucoup d’entre eux sont piégés dans le cercle du pouvoir sans comprendre pleinement leurs responsabilités morales. Une éducation éthique globale doit faire partie de la formation des fonctionnaires pour s’assurer qu’ils peuvent s’acquitter de leurs fonctions avec une grande intégrité et responsabilité.
Sans intégrité et éthique fortes, notre démocratie ne ne deviendra qu’une illusion fragil, facilement effondrée par les insultes du pouvoir et des intérêts personnels. Dans ce contexte, le terme "insultère de la propriété, des trons et des femmes" est très pertinent. Hasyim, comme beaucoup d’autres fonctionnaires, est enveloppé de cet insultant. La richesse symbolise la richesse et le matériel qui est souvent le plus grand insultant des fonctionnaires corrompus. Le trône se réfère à un pouvoir qui est souvent abusé pour des intérêts personnels. Pendant ce temps, les femmes, dans le cas de Hasyim, sont devenues un symbole d’insultère sexuels qui diffament la bonne réputation et l’intégrité des fonctionnaires de l’État.
L’affaire de Hasyim Asy’ari doit être une leçon précieuse pour nous tous. L’intégrité et l’éthique doivent être des fondements solides dans l’exercice des devoirs publics. Sans cela, les tentatives de richesse, de courts et de femmes continueront d’affaiblir nos piles de démocratie, les rendre fragiles et faciles à effondrer. Nous avons besoin d’ fonctionnaires qui ne sont pas seulement administratifs, mais qui ont également une grande moralité et éthique, capables de s’éloigner de ces attentes. Garons notre démocratie avec une intégrité et une éthique solide, pour un meilleur avenir de la nation.
En fin de compte, la démission de Hasyim Asy’ari est un reflet de la crise morale et éthique qui frappe la bureaucratie indonésienne. Il s’agit d’un avertissement pour toutes les parties, du gouvernement, des législatives à la société civile, de renforcer conjointement les piliers de la démocratie qui ont commencé à se fissurer. Sans une intégrité et une éthique forte, notre démocratie ne ne deviendra qu’une illusion fragil, facilement effondrée par la tentative du pouvoir et des intérêts personnels.
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