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JAKARTA - Ancien président directeur du PT. Pelabuhan Indonésie (Pelindo) II Persero, Richard Joost (RJ) Lino se sent toujours innocent, même s’il a été détenu par la Commission d’éradication de la corruption (KPK).

Le suspect dans la corruption de l’acquisition de trois unités de PT. Pelindo II’s Quay Container Crane (QCC) a même déclaré que ce qu’il avait fait était conforme au décret du ministre des Entreprises d’État (BUMN) en 2008. Cela signifie que la nomination directe de la CCQ était permise à ce moment-là.

« S’il dit que le processus est urgent, nous pouvons le nommer directement. Si la vente aux enchères est plus de deux fois, vous pouvez la nommer directement. Je l’ai fait neuf fois (vente aux enchères, rouge) », a déclaré R.J. Lino aux journalistes du bâtiment Merah Putih du KPK, au sud de Jakarta, le lundi 29 mars.

Il affirme même que ses actions en nomination directe ont profité au pays. C’est parce que le prix d’approvisionnement pour les trois unités de la CCQ est moins cher.

« Rendez-vous direct, oui, 2010 a été 500 mille dollars américains moins cher que la vente aux enchères de 2012, at-il dit.

R.J. Lino a admis qu’il n’était pas au fait de la distribution des profits provenant de l’achat de conteneurs. C’est parce qu’il s’est acquitter de ses fonctions conformément à la réglementation en vigueur.

En outre, il a également évalué que l’Agence suprême d’audit (BPK) ne devrait pas seulement calculer les pertes de l’État résultant de ses actions.

« Donc, si vous calculez les pertes de l’État, vous devez également calculer quels sont les avantages du pays », at-il dit.

Précédemment signalé, après avoir été désigné suspect concernant l’achat de trois unités de Quay Container Crane (QCC) au PT. Pelindo II depuis décembre 2015, R.J. Lino a finalement été arrêté par le KPK le vendredi 26 mars.

Il est soupçonné d’avoir dirige la nomination d’une société chinoise, à savoir HuaDong Heavy Machinery (HDHM) dans le cadre de l’acquisition de trois unités qcc chez PT. Pelindo II.

Pour ses actes, R.J. Lino était alors soupçonné d’avoir violé l’article 2 paragraphe (1) et/ou l’article 3 de la loi numéro 31 de 1999 concernant l’éradication de la corruption tel que modifié par la loi n° 20 de 2001 concernant les amendements au droit numéro 31 de 1999 concernant l’éradication de la corruption en conjonction avec l’article 55 paragraphe (1) 1 du Code pénal.


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