JAKARTA - Français président Emmanuel Macron a promis de lutter contre les groupes islamiques radicaux après la décapitation de Samuel Paty, professeur d’histoire, le 16 octobre. Paty a été décapitée après avoir montré des caricatures du prophète Mahomet à ses élèves dans une leçon sur la liberté d’expression.
Les propos de Macron ont suscité de nombreuses réactions. Des manifestations ont eu lieu dans les pays à majorité musulmane au cours du week-end. Des gens brûlent des images de Macron en Syrie et brûlent Français drapeaux dans la capitale libyenne, Tripoli. Plusieurs autres pays arabes ont boycotté Français produits.
Citant France24, mardi 27 octobre, Macron a répliqué au boycott et à la manifestation en disant: « Nous ne nous rendrons pas, pour toujours » aux radicaux islamiques. « Nous n’acceptons pas les discours de haine et nous maintenons un débat raisonnable. » Le ministère Français des Affaires étrangères a également demandé l’arrêt des appels au boycott.
Ils ont dit que les appels au boycott étaient sans fondement. « L’appel au boycott est sans fondement et doit être arrêté immédiatement, ainsi que toutes les attaques contre notre pays, qui sont menées par une minorité radicale », selon le communiqué.
Ce différend a conduit le Français musulman à prendre la parole. Le Conseil musulman insiste sur le fait que les musulmans de France ne sont pas persécutés. Le chef du Conseil Français musulman mohammed Moussaoui a également exhorté Français musulmans à défendre les intérêts de la nation face aux protestations internationales.
« La France est un grand pays. Les musulmans ne sont pas persécutés. Ils sont libres de construire leurs mosquées et de pratiquer leur religion librement », a déclaré le conseil, qui agit comme un courtier officiel pour l’État et les musulmans dévots.
« Nous savons que les partisans de cette campagne disent qu’ils défendent l’islam et la Français les musulmans, nous les exhortons à faire en sorte que toute la campagne de diffamation contre la France soit contre-productive et crée des divisions », a-t-il dit.
En ce qui concerne la caricature du prophète Mahomet, que beaucoup de musulmans trouvent offensante, Moussaoui a déclaré Français loi donne aux gens le « droit de rejeter » la caricature. M. Macron aurait également rencontré des représentants du Conseil musulman.
La réunion s’est tenue à huis clos et le Palais de l’Elysée n’a pas fourni d’informations détaillées sur ce qui a été discuté. Moussaoui a dit à Macron qu’ils étaient contre un boycott.
Mais ils ont également dit à Macron « Français musulmans sont inquiets des discussions qui tentent de les confondre avec les terroristes », a déclaré Moussaoui.
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