Pour Le New York Times, Covid-19 Victimes Ne Sont Pas Seulement Des Chiffres
« Alan Lund, 81 ans, Washington, chef d’orchestre aux oreilles incroyables... »
« Theresa Elloie, 63 ans, Nouvelle-Orléans, est réputée pour son entreprise de fabrication d’épingles et de corsases qui détaillent ... »
« Florencio Almazo Morán, 65 ans, New York, un soldat... »
« Coby Adolph, 44 ans, Chicago, entrepreneur et aventurier... »
NEW YORK - Les noms que l’éditeur a écrits ci-dessus ont disparu. Ce ne sont qu’une fraction des victimes du COVID-19 aux États-Unis qui sont mortes.
L’un des médias les plus influents des États-Unis, le New York Times, a sa propre façon de se souvenir des victimes du COVID-19 qui sont partis. Ils ont consacré une première page complète à l’écriture d’environ 1.000 victimes COVID-19 de près de cent mille morts.
« Des milliers de ces personnes ne représentent que 1 % du nombre de victimes. Ce ne sont pas que des chiffres », écrivait le journal dimanche 24 mai.
Pas de photos. Il n’y a pas de graphiques. Cela inclut des données sur l’évolution des cas covid-19 à la une du journal New York Times. Il n’y a qu’une longue liste de personnes dont la vie a été perdue à cause de la pandémie de coronavirus.
L’éditorial du New York Times a repris cet élan alors que le nombre de morts du COVID-19 aux États-Unis approchait les 100 000 morts. Au moment où cette nouvelle a été écrite, le nombre de décès avait atteint plus de 97 000 personnes. Pour atteindre le chiffre de 100 000, il devrait se produire dans les prochains jours.
Ce journal, actif depuis des mois, continue de discuter de la pandémie de coronavirus. L’une des rédactrices du Département de graphisme, Simone Landon évalué, le public ainsi que les lecteurs de leurs journaux, peut s’ennuyer avec la série de données.
« Nous savons qu’il doit y avoir un moyen d’essayer de rendre compte de ce nombre. »
Simone Landon
Il n’est pas facile de résumer les noms qui ont été « à la maison ». Les chercheurs ont ajouté une équipe de rédacteurs de la rédaction ainsi que trois étudiants journalistes diplômés, compilant une liste de près d’un millier de noms provenant de centaines de journaux. Ce n’est pas qu’un nom. Ils ont également ajouté des phrases pour décrire quelque chose d’unique au sujet des victimes qui sont mortes.
« Joe Diffie, 62 ans, Nashville, star de la musique country lauréate d’un Grammy. »
Lila A Fenwick, 87 ans, New York, la première femme noire à obtenir son diplôme de la Faculté de droit de l’Université Harvard.
Myles Coker, 69 ans, de New York, a été libéré de prison.
« Jordan Driver Haynes, 27 ans, Cedar Rapids, Iowa, un bon jeune homme avec un sourire charmant. »