6 jeunes ont attaqué le marché de Cibadak Sukabumi, la police : Parce qu’Ajakan tawuran

JABAR - La police a révélé le motif d’un groupe de jeunes au nom de « Parungkuda Comeback » qui a attaqué le marché Cibadak, dans la régence de Sukabumi, le jeudi 19 septembre vers 01h00 WIB.

« L’attaque menée par six jeunes hommes fortement armés du groupe de remise en commun est due à une invitation à la lutte d’autres groupes de jeunes au nom de Cibadak Street », a déclaré le chef de la police Sukabumi Samian à Sukabumi, vendredi 27 septembre, cité par Antara.

Selon Samian, il est soupçonné que le groupe de rue Cibadak s’est enfui au marché de Cibadak, ainsi que l’incident, il y avait plusieurs jeunes hommes chargés de maintenir le stationnement.

Le groupe de retour parungkuda pense que le gardien est son ennemi, à savoir Cibadak Street. Finalement, il y a eu un affrontement entre le responsable du stationnement et le groupe Parungkuda Comeback.

Après avoir attaqué Pasar Cibadak, le groupe s’est ensuite enfui dans le district de Parungkuda.

Les attaques qui étaient devenues virales sur les réseaux sociaux ont facilité l’arrestation du personnel de l’unité de reskrim de la police de Cibadak et de la police satreskrim de Sukabumi pour avoir été assistées par des images de vidéosurveillance virales sur les réseaux sociaux.

De plus, d’après le développement de l’affaire, il s’est avéré que le groupe de rue Cibadak n’était pas sur place. Ils ne sont que poussés par des informations non claires qui conduisent à ce que d’autres soient victimes.

Les auteurs arrêtés ont utilisé des méthodes de preuve scientifique dans les enquêtes criminelles basées sur les médias sociaux qui sont devenus viraux qui ont ensuite été identifiés, à savoir AP (21), PA (20), AR (19), H (22), G (29) et AS (16), qui étaient des enfants en conflit avec la loi.

Les auteurs sont soumis à l’article 2, paragraphe 1, de la loi d’urgence n° 12 de 1951 qui risque une peine d’emprisonnement maximale de 10 ans.

Ensuite, l’article 170 paragraphes 1 et 2 à 1e du Code pénal avec la menace d’une peine d’emprisonnement maximale de 7 ans, et l’article 406, paragraphe (1), du Code pénal, est la menace d’un maximum de 2 ans et 8 mois de prison.

Pour les enfants en conflit avec la loi soumis à l’article 38 paragraphe (2) de l’UURI 11/2008 sur les informations et les transactions électroniques jo article 1 paragraphe (3) de l’UURI 11/2016 sur le système de justice pénale pour l’enfance.

Pour les preuves saisies, trois unités de motos, épées, cocor canard et tuyaux de fer avec un couteau à la fin.