Lolly, le fils de Nikita, israélien, sera emmené dans une " maison sûre"

JAKARTA - La police amènera Laura Meizani Nassare Asry alias Lolly, fille de Nikita Azadani, dans un refuge ou une maison sûre. Cette décision a été faite conformément aux recommandations de l’unité d’exécution technique du Centre de protection des femmes et des enfants (UPT P3A).

On le sait, Lolly a été emmené de force par Nikita gereani de son unité d’appartement pour un visum le jeudi 19 septembre.

« Les enquêteurs se sont également coordonnés avec l’UPTP3A en amènant les enfants de la victime à une maison sûre conformément aux recommandations de l’UPTP3A », a déclaré jeudi 26 septembre, responsable des relations publiques de la police de Metro Jaya, Kombes Ade Ary Syam Indradi.

Cependant, il n’a pas été détaillé sur cela, y compris la question de la question de savoir quand Lolly a emmené à la maison en toute sécurité.

Jusqu’à présent, seulement les enquêteurs de la police du métro du sud de Jakarta sont toujours en contact avec les parties concernées dans le traitement de l’affaire.

« Les enquêteurs ont tenu une réunion de coordination avec les rangs du ministère de PPA et de l’UPT P3A concernant la gestion des enfants de la victime », a-t-il déclaré.

En fait, les enquêteurs auraient également coordonné avec l’Agence de protection des témoins et des victimes (LPSK) pour enquêter sur les cas présumés d’abus d’enfants et d’avortement.

« Cela fait partie de la POS dans l’enquête en cours », a déclaré Ade.

Pendant ce temps, l’enquête sur l’affaire était basée sur un rapport fait par Nikita黃ani au sud de la police du métro de Jakarta. Le rapport est enregistré sous le numéro LP/B/2811/IX/2024/SPKT/POLRES METRO JAKSEL/POLDA METRO JAYA.

Dans le rapport, la partie signalée est soupçonnée d’avoir violé la loi n° 35 de 2014 portant amendements à la loi n° 23 de 2002 sur la protection de l’enfance prévu à l’article 76d de la loi 35/2014 et/ou 77 A juncto 45 A et/ou 421 du Code pénal en liaison avec l’article 60 de la loi n° 17 de 2023 sur la santé et/ou l’article 346 du Code pénal en liaison avec l’article 81.