Audrey Davis, 8 questions sur lesquelles il s'agit de clarifier :
JAKARTA - L’examen d’Audrey Davis en tant que témoin d’une affaire de contenu pornographique présumé est terminé. La police a posé 7 questions.
Le directeur des enquêtes criminelles spéciales de la police de Metro Jaya, Kombes Ade Safri Simanjuntak, a déclaré que l’enquête sur Audrey Davis avait duré deux heures et demie, allant de 15h00 WIB à 17h30 WIB.
« L’examen soulève jusqu’à 7 questions », a déclaré Ade aux journalistes mardi 13 août.
Cependant, rien n’a été transmis par les enquêteurs de l’enquête. Seulement transmise par la fille de l’ancien chanteur Naif a répondu à toutes les questions soulevées.
En outre, a poursuivi Ade, les enquêteurs ont également confisqué un téléphone portable d’Audrey Davis. La saisie a été faite parce que le téléphone portable a été utilisé par un enfant de David Bayu pour communiquer avec le suspect AP qui est son ex-amant.
« Lors de l’examen, les enquêteurs ont également procédé à une saisie liée à 1 unité de téléphone portable appartenant à des témoins AD utilisés pour communiquer avec le suspect AP », a déclaré Ade.
On le sait, la police a arrêté l’ancien amant d’Audrey Davis avec les initiales AP. Elle est un homme qui joue une vidéo qui circule sur les réseaux sociaux ainsi que son créateur.
De la série d’examens, il a été constaté que la vidéo sévère avait été délibérément enregistrée le 19 décembre 2022.
Le suspect de l’AP a délibérément diffusé du contenu pornographique aux médias sociaux en raison d’un chagrin d’aumône à Adrey Davis.
« Le motif du suspect de se propager était que le suspect était désolé après avoir été décidé comme amant par un témoin AD », a déclaré Ade.
« Pour que le suspect veuille embarrasser l’AD en diffusant une vidéo téléchargée de civils ou de pornographie en question », a-t-il poursuivi.
Actuellement, le suspect AP est détenu au domicile de détention de la police de Metro Jaya.
Dans ce cas, il a été accusé de l’article 27, paragraphe 1, et de l’article 45, paragraphe 1, de la loi n° 1 de 2024 concernant le deuxième amendement à la loi n° 11 de 2008 relative à l’ITE et/ou à l’article 4, paragraphe 1, et à l’article 29 et/ou à l’article 7 jo article 33 de la loi n° 44 de 2008 relative à la pornographie.