Des déchets de mines d’or mangent 325 victimes, des membres de la Commission VII doivent former un groupe de travail Puli

JAKARTA Membre de la Commission VII de la Chambre des représentants, Mulyanto, a exhorté le gouvernement à former immédiatement un groupe de travail sur l’exploitation minière sans autorisation (Paki), à la suite du grand glissement de mines d’or dans le sous-district de Suwawa Est, province de Gorontalo, dimanche 7 juillet, qui a coûté 325 personnes.

« De plus, le projet de loi du gouvernement présidentiel pour former un groupe de travail sur la lutte contre les P orais est à la table présidentielle depuis longtemps », a déclaré Mulyanto lundi 15 juillet.

Le vice-président de la faction PKS de la Chambre des représentants a exhorté le gouvernement à présenter et à ne pas permettre de la pratique de gestion des mines populaires hautement à risque.

Selon lui, des mines populaires similaires sont répandues dans toute l’Indonésie et impliquent un nombre pas petit d’habitants. Surtout depuis que la pandémie de COVID-19 qui a déclenché uneturbation économique, pour les communautés inférieures, l’exploitation minière populaire est devenue un endroit où leurs revenus quotidiens dépendent pour se connecter à la vie.

Par conséquent, selon Mulyanto, le gouvernement doit vraiment prêter attention. Le nombre de victimes de centaines de personnes est très important. De plus, on sait que jusqu’à 27 personnes sont mortes et 15 personnes n’ont pas été retrouvées.

« Le gouvernement ne devrait pas fermer les yeux et faire de la permission. L’État doit être présent pour protéger toutes les nations indonésiennes. Il doivent y avoir des mesures concrètes pour améliorer cette gouvernance minière populaire à l’avenir », a-t-il expliqué.

Mulyanto a ajouté que les mines de peuples qui ne sont pas bien gérées sont dues à la faible construction et à la supervision du gouvernement.

Mulyanto a déclaré que les plaintes des résidents concernant les permis d’exploitation minière populaires qui sont encore en alambiance émergent souvent depuis que le gouvernement a récentralisé les licences par le biais de la loi n ° 3/2020 sur l’exploitation minière.

« Le groupe de travail sur les mines illégales que le gouvernement a déployé à ce jour s’est seulement arrêté pour se limiter au discours. Ce décret présidentiel concerné n’apparaît pas », a souligné Mulyanto.

À noter, jusqu’au septième jour depuis le jour des glissements de terrain dimanche 7 juillet, 27 personnes ont été retrouvées mortes et 15 disparues.

Sur la base des données de Basarnas Gorontalo, le nombre total de victimes des glissements de terrain dans le village de Tulabolo Est, sous-district de Suwa Est, province de Gorontalo a atteint 325 personnes.