« Je Ne Vais Pas Vous Laisser Tomber »: Le Jeune Homme De 20 Ans Se Dit « très Heureux » De Son Nouveau Contrat

JAKARTA - L’auteur du meurtre d’une famille qui avait subi un traitement à l’hôpital général régional de Rembang, java central, pour tentative de suicide, a finalement été détenu dans une cellule de garde à vue locale après avoir été déclaré en bonne santé.

« L’agresseur a été arrêté depuis le 16 février 2021 après la fin de la période de livraison », a déclaré kurniawan Tandi Rongre, chef de la police de l’AKBP, par l’intermédiaire de l’AKP Reskrim Kasat Bambang Sugito à Rembang, rapporté par Antara, vendredi 26 février.

Pendant le traitement, l’agresseur n’a pas été en mesure de donner d’informations. Après avoir récupéré l’agresseur peut déjà être demandé des informations liées à l’affaire du meurtre présumé de la famille.

À ce moment-là, a-t-il dit, l’agresseur nommé Sumani (43) habitants du village de Pragu, sulang subdistrict, Régence Rembang a subi une nouvelle détention.

L’agresseur est désigné comme suspect depuis le 8 février 2021. Mais après la détermination, l’agresseur a tenté de se suicider en chugging liquide pesticide. En conséquence, il doit subir un traitement à l’hôpital.

Pendant son hospitalisation, l’agresseur a été gardé par cinq membres du personnel en prévision de choses indésirables.

Bien qu’au début de l’enquête n’a pas admis ses actions, at-il dit, à partir des résultats de l’enquête et un certain nombre de preuves il ya de fortes allégations qu’il était l’auteur du meurtre.

Cela a été renforcé par les conclusions de la preuve sous forme d’arit, un certain nombre de bijoux sous forme de bracelets, bagues, aiguilles d’or, et boucles d’oreilles dans la maison du suspect.

Les victimes qui ont été retrouvées mortes dans une maison du village de Turusgede, dans le district de Rembang, jeudi (4/2), ont été nommées Anom Subekti (mari), Tri Purwati (épouse), Alfitri Saidatina (fils) et Galuh Lintang (petit-fils).

Pour ses actes, l’auteur est menacé de la peine de mort ou de la perpétu vie pour des violations présumées de l’article 340 du Code pénal sous-traitant de l’article 338 du Code pénal et/ou de l’article 365 paragraphe (3) du Code pénal ou de l’article 3 80 Paragraphe (3) juncto article 76C de la loi de la République d’Indonésie Numéro 35 de 2014 concernant les amendements à la loi de la République d’Indonésie Numéro 23/2002 concernant la protection de l’enfance.