Syrie : Les États-Unis et l'Union Européenne peuvent aider les pays à se développer contre le changement climatique

JAKARTA - L'ambassadeur permanent de la Syrie auprès des Nations Unies, l'ambassadeur Qussai Dah Hak, a souligné la nécessité que les pays développés soient responsables de fournir une assistance aux pays en développement pour remplir leurs obligations d'atténuation des catastrophes causées par le changement climatique.

Lors d’un débat ouvert à haut niveau au Conseil de sécurité de l’ONU, Dahhak a déclaré que la Syrie, comme d’autres pays, était exposée au changement climatique qui entraîne une réduction des précipitations, une sécheresse accrue, une vague de sécheresses et des tempêtes de poussière qui ont un impact négatif sur la vie et sa capacité des Syriens à répondre aux besoins fondamentaux.

Sur la base du rapport de Sana Onana via Antara, mercredi 14 février, Dahhak a souligné que la continuation de l’occupation israélienne dans le territoire arabe, y compris les Golans en Syrie, a eu de graves conséquences sur l’environnement.

Selon lui, l'occupation israélienne a abouti à la destruction de terres agricoles, à la décharge d'arbres, à l'enterrement de déchets dangereux et à l'utilisation d'armes interdites au niveau international.

En outre, il a souligné la nécessité d’abroger complètement les mesures coercitives qui entravent la fourniture d’un soutien technique et de technologies modernes ainsi que les subventions et l’assistance allouées aux pays en développement pour atteindre les objectifs de développement durable.

La déclaration a été faite par Dahhak parce que la Syrie avait fait de ses mieux pour faire face au tremblement de terre qui a frappé la Syrie le 6 février 2023.

Le gouvernement syrien a tenté de sauver les victimes et de soigner et soigner.

Toutefois, les mesures de coersifie unilatérales imposées par les États-Unis et l’Union Européenne contre le peuple syrien ont saisi la satisfaction des besoins fondamentaux des résidents touchés.

Il a déclaré que les États-Unis et l’Union européenne entravaient l’aide et le travail humanitaire, bloquant la fourniture d’équipements lourds, d’équipements de protection civile, de matériel médical de base et de matériels nécessaires pour sauver les victimes des effets du tremblement de terre.