Difficile D’admettre Notre Erreur, Pourquoi ? Selon L’expert, C’est Lié à L’intelligence émotionnelle

JAKARTA - Tout le monde a fait une erreur, mais quand sait déjà quelque chose de fait est mal et il est difficile d’admettre, est-ce normal? Dans certains documents, il est dit que personne ne veut être considéré comme ayant fait quelque chose de mal. Pourquoi?

Citant I Heart Intelligence, lundi 22 février, les grandes personnes sont celles qui veulent admettre leurs erreurs, mais pour certaines personnes d’admettre faire quelque chose de mal est quelque chose au-delà de l’estimation.

Par exemple, déclarer khilaf au sujet d’une affaire qui a été menée pendant une longue période, se réfère en particulier au cas d’Ayub Sabyan-Annisa Sabyan, tel que rapporté par VOI. Pouvez-vous dire que dans le contexte de cette affaire quelqu’un a un grand cœur en admettant son « erreur »?

Se référant au Grand Dictionnaire indonésien, khilaf signifie erreur erronée et involontaire. Dans un contexte plus large, les erreurs exigent des comptes.

Quand quelqu’un fait une erreur et ne peut pas admettre qu’ils avaient tort, il est lié à une fierté presque sans valeur. Dans les cas quotidiens, par exemple, arriver en retard, mais blâmer la météo, les embouteillages à la prévision du zodiaque. N’est-ce pas si puéril ?

Guy Winch, psychologue, décrit les personnes ayant un comportement comme l’illustration ci-dessus comme étant psychologiquement fragiles.

Ceux qui font des erreurs mais qui ne montrent délibérément pas les aspects de ce qu’ils ont fait veulent être considérés comme courageux, confiants et indépendants. Mais ce qui n’est pas réalisé, refuser d’admettre des erreurs ne montre pas de force.

Les gens qui admettent des erreurs ont honnêtement besoin d’un niveau d’intelligence émotionnelle et de force mentale, dit Guy Winch. Parce que, la volonté d’admettre les erreurs portant les conséquences de l’amélioration.

Des recherches menées par Roy Lewicki et des collègues de l’Université d’État de l’Ohio en 2016 ont examiné les excuses. Cette étude explore deux catégories d’excuses, à savoir l’amélioration de l’image et les demandes sérieuses accompagnées de responsabilités.

La première catégorie a été tracée par la couverture médiatique contenant des excuses des grands chiffres. Selon Lewicki cité par Psychology Today, lundi 22 février, cette catégorie est considérée comme une « réparation d’image » qui est faite pour réparer les croyances « endommagées ».

Pendant ce temps, la deuxième catégorie est la reconnaissance des erreurs avec l’acceptation de l’état d’esprit qu’il a fait des erreurs.

Dans son étude, Lewicki a utilisé un échantillon en ligne qui a été organisé par 333 adultes. Lire un scénario où une personne viole la croyance d’une autre en la compétence ou l’intégrité.

D’après les participants à l’étude, il est rapporté la forme la plus efficace d’excuses. Pour la première catégorie, les excuses qui sont « prises » au sérieux doivent être suivies d’une offre de correction de la fiducie endommagée et d’une explication de l’acte répréhensible.

Lewicki a dit, des excuses n’est pas comme un aveu d’acte répréhensible qui implique toujours le fait qu’il ya un effet de ses actes répréhensibles. Toutes mes excuses pour « amélioration de l’image » ont deux pilotes. Tout d’abord, il montre que le fautif respecte la personne blessée.

Et deuxièmement, il pourrait être une expression de l’égocentrisme ou même le narcissisme de se concentrer uniquement sur l’amélioration de l’image de l’excuseur.

Alors que dans la deuxième catégorie, c’est plus compliqué parce qu’il faut une valeur plus élevée parce que les participants pensent que les gens qui prétendent être « stupide » ne sont pas plus préjudiciables que les gens qui prétendent être « intelligent », mais éviter d’admettre leurs erreurs.

L’étude de Lewick et de ses collègues n’a pas comparé les effets des excuses et de l’aveu de culpabilité. Étant donné que cette étude n’a pas examiné toutes les interactions dans le scénario choisi, certaines personnes peuvent se sentir plus offensées par la faiblesse de l’intégrité et de la compétence.

Le message de Lewick et de ses collègues, il n’est pas impossible pour tout le monde de prendre de mauvaises décisions, y compris les décisions qui nuisent aux autres ou même à vous-même. Maintenant, quand vous admettez vos faiblesses et vos erreurs, c’est le côté le plus fort de vous.