Les trois enfants ont été volés à plusieurs reprises, un homme à Sumberejo est finalement devenu suspect
BANJARNEGARA - Sat Reskrim Polres Banjarnegara a désigné DS (36 ans), résidents du village de Sumberjo, sous-district de Batur, régence de Banjarnegara, comme suspects dans l’affaire d’abus contre trois mineurs.
On le sait, le cas d’abus commis par le suspect DS est devenu viral depuis le 25 octobre 2023. Lorsque un homme est sécurisé par un résident pour avoir prétendument agressé d’un mineur.
Le chef de la police de Banjarnegara AKBP Era Johny Kurniawan, par l’intermédiaire du chef de l’unité d’enquête, l’AKP Resandro Handria sina a déclaré, sur la base de l’examen, que le suspect DS avait commis des actes d’obscénité contre 3 victimes, à savoir M (11), W (12 ans) et N (12 ans).
« Le suspect a commis une action abusive pour la première fois vers 2018 et le dernier, le 6 septembre 2023, il y en avait jusqu’à 6 fois, 2 fois et 1 fois », a déclaré Era Johny dans une déclaration écrite mercredi soir.
Il a expliqué que le suspect DS a mené ses actions au domicile de la victime, au domicile du suspect et dans un cabinet près du terrain.
« Ce mode suspects donne de l’argent à la victime pour qu’elle soit agressée et ne pas informer l’incident à d’autres », a-t-il déclaré.
Selon lui, ce suspect surveille en effet des enfants, parce qu’il est considéré comme ne raconterait nulle part.
« Les victimes sont apportées à de l’argent varié il y a cinquante mille, vingt mille, dix mille, cette victime principale a des relations familiales avec le suspect et d’autres victimes voisines de l’agresseur », a-t-il déclaré.
Sur la base de l’interrogatoire des témoins et des preuves saisies, a poursuivi le chef de la police, le suspect est soumis à l’article 82, paragraphe (1), Jo article 76E de la loi n° 35 de 2014 sur les modifications de la loi n° 23 de 2002 sur la protection de l’enfance Jo loi n° 17 de 2016 sur l’établissement de réglementations gouvernementales remplaçant la loi n° 01 de 2016 sur le deuxième amendement à la loi n° 23 de 2002 sur la protection de l’enfance en Loi Jo Article 65 du Code pénal.
« La menace d’une peine minimale de 5 ans et d’un maximum de 15 ans de prison », a-t-il conclu.