Avant La Mutilation De Rinaldi, Les Auteurs Avaient Pressé Les Biens De La Victime
JAKARTA - La reconstruction de l’affaire de mutilation de Rinaldi Harley Wismanu corrobore les faits et les preuves possédés par la police. Où avant de tuer les deux suspects ont essayé d’extorquer les biens de la victime.
L’action d’extorsion a été re-démontrée dans la 10ème scène qui a eu lieu à l’appartement de masion, Jakarta central. Avant de faire chanter le suspect, Djumadil Al Fajar a d’abord frappé et poignardé Rindali.
« Après la victime est tombé suspect daf puis poignardé la victime dans la poitrine. Le suspect du DAF a fait chanter la victime pour avoir pris sa femme en contact, puis l’a fait chanter pour lui demander de l’argent », a déclaré l’enquêteur qui a dirigé la reconstruction, vendredi 18 septembre.
Malgré les pressions, Rinaldi a refusé de se conformer à la demande du suspect. Donc, le suspect l’a encore poignardé avec des ciseaux.
« Scène 11, le suspect a poignardé la victime avec des ciseaux dans la tête une fois, at-il dit.
Rinaldi, blessé, a tenté de s’échapper vers la porte de l’appartement. Mais sa tentative a échoué parce que le suspect l’a arrêté et l’a poignardé à plusieurs reprises.
« Le suspect du DAF a poignardé la victime dans le dos huit fois », a-t-il dit.
Un peu plus tôt, la police avait découvert le mobile de la mutilation de Rinaldi Harley Wismanu. L’agresseur voudrait prendre le contrôle des biens de la victime. Où, après avoir tué et mutilé la victime, l’agresseur a vidé le contenu du guichet automatique d’une valeur de Rp97 millions.
Les malfaiteurs ont utilisé l’argent pour acheter plusieurs morceaux de métaux précieux, des motos et louer une maison d’habitation.
Les auteurs de la mutilation de Rinaldi Harley Wismanu étaient amants, à savoir Laeli Atik Supriyatin et Djumadil Al Fajar. Ils ont été arrêtés dans sa maison louée à Cimanggis, Depok, Java-Ouest.
Les deux suspects ont tué et mutilé Rinaldi dans l’une des unités mansion apartment, dans le centre de Jakarta. Puis lui a laissé des morceaux du corps de la victime dans l’appartement de Kalibata City.
Sur la base des résultats de l’enquête, le motif du meurtre et de la mutilation parce que les deux suspects voulaient prendre possession des biens de Rinaldi.
Pour ses actes, les amants sont soupçonnés par des articles superposés, dont l’article 340 du Code pénal, 338 du Code pénal, à 365 du Code pénal. Ils sont menacés de mort.