À La Suite D’un Accident Majeur Lors De L’événement Cycliste Du Tour De France 2021, Cette Femme A été Condamnée à Une Amende De 19,4 Millions De Roupies

Une femme Français a été condamnée à une amende de 1 200 euros (1 200 dollars) pour avoir causé une grave chute au Tour de France en agitant un panneau en carton dans la voie du coureur.

Le peloton principal (peloton) se trouvait à 45 kilomètres de la fin de la première étape du Tour de France 2021, lorsque le panneau porté par la femme a heurté l’Allemand Tony Martin.

Inévitablement, le coureur est immédiatement tombé au sol et a amené des dizaines d’autres coureurs à le suivre, dans l’un des pires accidents de tous les temps lors de l’un des prestigieux tournois cyclistes.

L’homme de 31 ans a également été condamné à payer une amende symbolique d’un euro à l’association des cyclistes professionnels français.

L’identité de la femme, qui était spectatrice de la course d’élite, a été gardée secrète après avoir été soumise à un tollé en ligne, a rapporté l’agence de presse AFP.

Des séquences vidéo de l’incident, qui a eu lieu en juin, ont été largement partagées en ligne.

La femme est vue tenant une pancarte sur laquelle on peut lire « grand-mère et grand-père » en allemand. Il tourna le dos au peloton qui venait vers lui et ne les vit pas s’approcher, tout en tenant sa marque trop près de la route.

La collision a stoppé la course, qui s’est déroulée entre Brest et Landerneau dans le nord-ouest de la France, pendant cinq minutes, tandis que la moto et ses coureurs étaient analysés et dégagés de la route.

À la suite de l’accident, deux coureurs ont dû mettre fin à leur participation à la prestigieuse course cycliste. Huit autres coureurs ont été soignés pour des blessures.

Plusieurs personnes ont finalement dû se retirer de la course, dont l’Espagnol Marc Soler, qui avait les deux mains cassées. La femme s’est rendue à la garde à vue quelques jours plus tard.

Les procureurs avaient précédemment demandé une peine de quatre mois de prison avec sursis pour la femme, l’accusant de mettre en danger la vie et de causer des blessures involontaires.

Au tribunal, le procureur Solenn Briand a révélé que la femme avait exprimé des regrets et admis à quel point c’était dangereux pendant la course.

Fait intéressant, depuis que la collision s’est produite, ce prestigieux directeur de course Christian Prudhomme a adopté une position conciliante.

« Il a fait quelque chose de fou, ce n’est pas un terroriste. Nous voulons juste que les gens soient prudents quand ils viennent sur le Tour, et se souviennent qu’ils sont là pour voir les champions et non pour apparaître à la télévision.