Voyager dans l’espace et sur Mars est quelque chose dont beaucoup de gens rêvent souvent. Au fil des ans, Mars a été une destination remplie d’émerveillement et de crainte. C’est l’une des planètes les plus proches de la Terre, qui aurait abrité une vie ancienne il y a des milliards d’années, et est régulièrement présentée dans diverses formes de culture pop.
Alors que les robots sont la seule chose de la Terre qui a visité Mars jusqu’à présent, elle se prépare à changer dans un avenir pas trop lointain. La NASA prévoit actuellement d’envoyer les premiers humains sur Mars d’ici 2030.
Bien que les atterrisseurs et les rovers sur Mars soient assez difficiles, y amener les humains en toute sécurité et les ramener est un défi en soi. Un travail important est en cours pour assurer le bon déroulement de la mission, y compris des simulations rigoureuses sur Terre.
C’est ce qui se passe maintenant au plus profond du désert du Néguev en Israël. Dans le cadre de la mission menée par l’Australian Space Forum, six « astronautes » y séjournent actuellement pour le mois prochain tout en profitant de l’expérience complète de Mars.
Ils ont des combinaisons spatiales spéciales qu’ils doivent porter à l’extérieur, vivre sur une base « Mars » et avoir différentes missions à faire pour simuler ce que les astronautes humains feront réellement sur Mars. Les six personnes venaient de différentes parties du monde, y compris Israël, le Portugal, l’Espagne, l’Autriche, l’Allemagne et les Pays-Bas.
L’un des plus grands défis d’une mission humaine sur Mars est de comprendre son effet sur les astronautes choisis pour elle. Entre un vol de plusieurs mois vers Mars, vivre sur une planète extraterrestre, y faire des recherches et un long vol de retour, c’est un manque de demander à la fois physiquement et émotionnellement à quiconque.
Des simulations comme celles-ci visent à mieux comprendre comment les gens réagissent et s’adaptent à des tâches aussi exigeantes. Avec ces simulations, en particulier, l’Australian Space Forum a étudié comment les « astronautes » ont géré un isolement d’un mois dans un environnement calme.
L’équipage sera chargé de divers travaux / scénarios tout au long de la mission, tels que l’utilisation de drones et d’autres véhicules à énergie éolienne et solaire pour traverser le désert. Une autre tâche serait de simuler des bactéries nées sur Terre infectant des formes de vie martiennes - quelque chose qui serait « un gros problème » si cela se produisait réellement sur la planète.
Les simulations ne peuvent évidemment pas recréer les températures et les atmosphères qui existent sur Mars, mais c’est aussi proche que les scientifiques peuvent obtenir sans réellement visiter la planète.
Même avec cette mise en garde, c’est toujours une étape importante vers la réalisation d’une mission humaine vers Mars en 2030. Comme l’a expliqué le superviseur de la mission, Gernot Groemer, « ce que nous faisons ici, c’est nous préparer à une grande mission, le plus grand voyage que notre société ait jamais entrepris, parce que Mars et la Terre sont à 380 millions de kilomètres l’un de l’autre à leurs extrêmes. »
C’est peut-être une petite pièce du puzzle d’amener les humains sur Mars, mais cela ne le rend pas moins important.
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