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JAKARTA - La Chine est à nouveau historique des vols spatiaux après que le rover lunaire Chang’e-6 est retourné sur Terre en apportant des échantillons de roche du côté caché de la Lune. Ce rover a atterri dans la région autonome de la Mongolie intérieure à 06h00 GMT (14h00 heure de Beijing) le 25 juin.

Le Chang’e-6 rapporte environ 2 kilogrammes de régolites par mois collectés depuis le bassin du Pole-Aitken Sud, une région peu explorée. Ces échantillons sont très attendus par les scientifiques pour étudier l’histoire initiale du système solaire.

L’atterrissage de Chang’e-6 par parachute a été immédiatement réagi rapidement par une équipe de scientifiques qui a atteint le module quelques minutes après l’atterrissage. Zhang Kejian, directeur de l’administration spatiale nationale de Chine, a annoncé le succès de cette mission lors d’une conférence de presse diffusée par télévision. Le président chinois Xi Jinping, a également envoyé des félicitations, l’a qualifié de « réalisation historique dans les efforts de notre pays pour devenir une puissance technologique et spatiale ».

Chang’e-6 a réuni des échantillons du bassin du Pole-Aitken Sud, un cratère qui se serait formé il y a plus de 4 milliards d’années. Ce cratère offre une opportunité unique d’étudier les formations premières de la Lune et de découvrir s’il y a assez d’eau dans le pôle sud de la Lune pour soutenir les colonies humaines.

Après atterrir à la surface lunaire, le module escaladeur Chang’e-6 a glissé à nouveau en orbite lunaire, rencontrant le module orbital le 6 juin et a commencé son voyage retourner vers Terre le 21 juin.

La mission est techniquement difficile car il n’y a aucun signal radio de la Terre capable d’atteindre directement la face éloignée de la Lune. Le contrôle du signal est effectué par le biais d’un satellite relay Queqiao-2 mis en orbite lunaire en mars pour réfléchir le signal retournant sur Terre.

Chang’e-6 est la sixième mission des huit missions du ambitieux programme d’exploration lunaire de la Chine. La Chine prévoit de lancer Chang’e-7 en 2026 et Chang’e-8 en 2028, qui testera la technologie pour construire une base humaine sur le pôle sud de la Lune d’ici les années 2030.

Ces échantillons seront analysés par des scientifiques chinois avant que les données ne soient partagées avec des chercheurs internationaux, ouvrant le chemin pour une collaboration scientifique mondiale plus large.


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