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JAKARTA - Ethereum, l’une des plus grandes plates-formes cryptographiques au monde, est en train de transformer du mécanisme de consensus de preuve de travail (PoW) au mécanisme de preuve de travail (PoS). Le changement vise à améliorer l’efficacité, la sécurité et l’évolutivité du réseau Ethereum, qui est actuellement confronté à des problèmes tels que les frais de transaction élevés, la consommation d’énergie élevée et la congestion du réseau.

Cependant, le passage à PoS pose également de nouveaux défis, en particulier en ce qui concerne la gestion des signatures numériques, ce qui est la preuve que les validateurs ont participé au processus de validation des blocs. Dans le PoS, le validateur est une entité qui dépose un certain nombre d’éther, la crypto-monnaie Ethereum, pour obtenir le droit de valider le bloc et de recevoir une récompense.

Le nombre de signatures nécessaires pour chaque créneau, à savoir l’intervalle de temps dans lequel un bloc a été créé, atteint actuellement 262 144, ce qui rend le processus de validation très compliqué et accroche le réseau.

Pour résoudre ce problème, Vitalik Buterin, l’un des fondateurs d’Ethereum, a récemment proposé trois solutions potentielles dans un post sur le forum de recherche Ethereum. Ces trois solutions visent à simplifier le processus de validation en réduisant le nombre de signats nécessaires à seulement 8 192 par créneau, facilitant et réduisant ainsi les charges du réseau.

Modification de la structure de la zone de grève

La première solution proposée par Buterin était de changer la structure du pool d’arrêt, qui est un groupe de validateurs qui combinent leurs ressources pour accroître les chances de validation et diviser les récompenses.

Pour information supplémentaire, le mécanisme PoS permet de s’emparer, à savoir le stockage d’actifs cryptographiques à plusieurs moments dans le réseau. Le plaçant agira comme un validateur. Pour son rôle en sécurisation du réseau, le plaçant sera récompensé sous la forme d’actifs cryptographiques.

Buterin a suggéré d’augmenter le nombre minimum d’éther nécessaires pour exécuter le validateur, de sorte que les petits validateurs doivent rejoindre le pool de prise pour continuer à participer. Ainsi, le nombre total de validateurs sera réduit, ainsi que le nombre de signatures.

Division des Staker

La deuxième solution proposée par Buterin est de mettre en œuvre un système de prélèvement à deux niveaux, qui distingue entre les prélèvements avec différentes responsabilités et exigences. Ces deux niveaux sont les prélèvements majeurs et les prélèvements secondaires. Les prélèvements sont les parties qui prennent des prélèvements sur l’ETH.

Les principaux facteurs ont des exigences plus lourdes, telles que le déposage de plus d’éther, l’exécution d’un matériel plus sophistiqué et la signature de plus de blocs. Les facteurs secondaires ont des exigences plus légères, telles que le déposage de moins d’éther, l’exécution de matériel plus simple et la signature de moins de blocs.

Ces deux niveaux d’attaquants seront intégrés différemment dans le processus de finalisation du bloc, qui est un processus dans lequel les blocs sont confirmés de manière permanente et peuvent être annulés. L’attaquant principal sera responsable de la finalisation du bloc principal, qui se produit tous les 64 créneaux, soit environ 12 minutes. L’attaquant secondaire sera responsable de la finalisation du bloc secondaire, qui se produit chaque créneau soit environ 12 secondes comme indiqué par Coingape.

Cette séparation peut créer un système plus équilibré, dans lequel les responsabilités et les récompenses sont en ligne avec les capacités et les engagements des différentes parties prenantes. Les principaux parties prenantes reçoivent plus de récompenses, mais prennent également plus de risques s’ils commettent une erreur ou une trompe. Les parties prenantes secondaires reçoivent moins de récompenses, mais prennent également moins de risques. Cependant, cette solution introduit également la complexité dans la gestion de ces deux niveaux d’intérêts et assure une participation équitable et efficace des deux parties.

Selection aléatoire du validateur

La dernière solution proposée par Buterin est d’utiliser un système de validateur rotatif, qui est de sélectionner au hasard un groupe de validateurs pour chaque créneau, distribuant ainsi des charges de travail plus uniformément sur tout le réseau. Ainsi, aucun validateur ne doit signer tous les blocs, mais seulement une partie d’eux. Cela peut réduire le nombre de signats nécessaires et améliorer également la sécurité du réseau en prévenant les attaques contre certains validateurs.

Cependant, cette solution introduit également de nouvelles complexités, à savoir le processus électoral aléatoire qui doit assurer l’équité et la transparence tout en maintenant la sécurité et l’efficacité du réseau. Cette solution nécessite également une bonne coordination entre différents validateurs et prend en compte la possibilité de validateurs inactivés ou inhérents.

Chaque solution proposée par Buterin a ses propres avantages et défis respectifs. Buterin reconnaît qu’il n’y a pas de solution parfaite et que chaque solution nécessite des tests et une évaluation supplémentaires avant d’être mis en œuvre.

Buterin a également souligné que ces solutions sont pertinentes non seulement pour Ethereum, mais aussi pour d’autres réseaux cryptographiques qui utilisent ou s’intencent d’utiliser PoS comme mécanisme de consensus. Le PoS est considéré comme une alternative plus respectueuse de l’environnement et plus démocratique que les PoW (preuve de travail), qui nécessite beaucoup d’énergie et ont tendance à profiter des mineurs qui ont un matériel plus fort.


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