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JAKARTA - Les États de l’Union européenne (UE) envisagent et calculent s’ils soutiendront des tarifs supplémentaires sur les véhicules électriques fabriqués en Chine, y compris en analysant l’impact si la Chine comporte une réponse similaire.

L’Allemagne, a rapporté Reuters le 4 juillet, où les constructeurs automobiles ont généré un tiers de leurs ventes en Chine, a rejeté le tarif, tandis que la France l’a soutenu. La majorité du pays évalue toujours les pro et les inconvénients, selon un sondage informel de Reuters.

Le bloc confirmera des tarifs temporaires allant jusqu’à 37,6% sur des marques chinoises telles que BYD, Geely et SAIC, ainsi que sur des modèles chinois de Tesla, BMW et d’autres fabricants automobiles occidentaux. Les constructeurs automobiles se préparent à un nouveau tarif qui atteint des milliards de dollars en raison de ces tarifs, qui, selon les analystes, pourrait ralentir leur expansion en Europe. Les États membres de l’UE voteront en octobre si la Commission proposerait des tarifs pluriannés à la fin de son enquête.

L’Allemagne a souligné la nécessité d’une solution à négociation avec Pékin, disant que les tarifs ne sont pas la bonne approche. Ils évaluent l’impact négatif des tarifs au-delà des avantages. Dans leur dernier effort pour influencer les négociations, l’association allemande automobiliste a exhorté Bruxelles à annuler les tarifs. L’augmentation du coût des véhicules électriques pour les consommateurs renforce également l’objectif de l’UE d’être neutre en carbone d’ici 2050.

Pendant ce temps, l’impact de la représailles de Pékin préoccupe également d’être sous la forme de tarifs supplémentaires sur les exportations de l’UE tels que le cognitude, le porc ou les voitures de luxe.

La Commission européenne a déclaré que les tarifs étaient nécessaires pour surmonter les prêts bon marché, les terres et les matières premières subventionnés par la Chine, dans le but de créer des conditions égales. Les tarifs peuvent également influencer l’UE dans les négociations avec Pékin et encourager les constructeurs à fabriquer des voitures dans l’UE.

D’une part, l’enquête sur les véhicules électriques pourrait être le début pour l’UE de renforcer sa position envers Pékin. Le rapport d’une épaisse de 712 pages mis à jour en avril sur l’intervention et les subventions de l’État chinois est le signe le plus fort que Bruxelles est sérieuse. Le rapport montre que la Chine ne joue pas avec les mêmes règles et ouvre la porte aux cas futurs.


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