Le nom d’Anies Baswedan était autrefois devenu un aimant dans le monde de la politique indonésienne. Sa popularité alors qu’elle dirigeait Jakarta était comme préparer une route sans heurts vers des niveaux de pouvoir plus élevés. Cependant, la réalité dit autrement. L’échec à l’élection électorale de Jakarta et l’annulation à l’élection électorale de Java occidental a fermé la porte à ses ambitions politiques. Comment Anies, cette figure qui avait été négligée, est-ce maintenant confronté à une dure réalité politique pleine de lézards? La popularité est suffisante pour survivre dans une dynamique politique forte?
Partant d’universitaires, Anies est entré sur la scène politique sans le soutien du parti. Sa proximité avec le grand parti a commencé lorsqu’il a suivi la convention du Parti démocrate à l’époque de Susilo Bambang Yudhoyono. Bien qu’un échec, cette décision ouvre la voie au cercle politique d’élite. Anies est ensuite devenu porte-parole de Jokowi lors de l’élection présidentielle de 2014 et est devenu ministre de l’Éducation et de la Culture. Ce poste n’a pas duré longtemps, mais suffit pour le placer dans le radar politique national.
Après avoir quitté le cabinet, Anies n’a pas arrêté. Il a été marié à Sandiaga Uno et s’est battu lors des élections DKI Jakarta. Soutenues par Gerindra et PKS, ils ont réussi à battre le pente. Cette victoire souligne la position d’Anies en tant que principal acteur politique, non seulement en tant que gouverneur, mais aussi en tant que nouveau symbole politique avec un potentiel national.
Lorsque le mandat du gouverneur de Jakarta s’est terminé, les ambitions d’Anies ont été mises à l’épreuve. Il s’est présenté comme candidat à la présidence avec Muhaimin Iskandar, en compétition contre des personnalités puissantes telles que Prabowo Subianto et Ganjar Pranowo. La défaite à l’élection présidentielle a été un coup dur, mais Anies n’a pas abandonné. Il a essayé sa chance lors de l’élection de Jakarta. Cette décision semblait être une stratégie pour sécuriser la base du pouvoir. Cependant, son espoir s’est à nouveau sombre. Le PDIP, qui devrait soutenir, a choisi Pramono Anung comme candidat. Cette décision du PDIP, souligne la dynamique de la politique indonésienne.
L’échec d’Anies lors de l’élection de Jakarta et l’annulation à la dernière minute de l’avancement lors des élections de Java occidental ont montré que la popularité n’était pas une arme majeure dans la politique. Le soutien des grands partis et le pouvoir de l’ lobbying sont plus déterminants. La popularité d’Anies pendant son mandat de gouverneur de Jakarta ne suffit pas à garantir un soutien. Le pouvoir en politique est souvent déterminé par des alliances et des stratégies mature. Anies, avec tous ses attraits, fait face au fait que les jeux politiques nécessitent plus que juste des abonnés fidèles; il a besoin d’alliés prêts à se battre derrière le morceau.
Les dirigeants intelligents savent quand ils doivent démissionner pour élaborer une nouvelle stratégie et attendre le bon moment pour déménager. Anies pourrait envisager des mesures plus stratégiques pour rétablir sa position, telles que la construction de nouvelles alliances ou même la création de ses propres partis politiques, comme il l’a signalé. Quelque chose n’est pas facile.
L’histoire d’Anies Baswedan est un portrait de la dynamique politique indonésienne. Le manqué de marcher dans le pilgub n’est pas seulement un manque de soutien, mais aussi sur la façon dont le pouvoir est joué derrière les écrans. En tant qu’acmémodiation, Anies devrait comprendre qu’il fait face au fait qu’en politique, la popularité peut être une illusion, tandis que le véritable pouvoir est entre les mains de ceux qui savent quand aller de l’avant, reculer ou s’allier.
Bien qu’il ne soit plus en première ligne, Anies Baswedan reste actif dans l’arène politique. Il comprend que la politique n’est pas seulement une victoire rapide, mais un long jeu plein d’efforts. La force réside dans la capacité de lire la situation, de maintenir les alliances et d’être patient en attendant le bon moment pour agir. Anies a peut-être échoué en plusieurs étapes, mais le chemin ne s’est pas encore terminé. L’arène politique indonésienne est toujours en attente, avec de nouveaux barres prêts à écrire. Pour survivre, Anies doit envisager des mesures radicaales, qu’il s’agisse d’un nouveau parti qui peut être une nouvelle force sur la scène politique. Cependant, créer et développer un parti afin que l’existence n’est pas facile. Beaucoup essaient, mais pas beaucoup réussissent.
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