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JAKARTA - Le ministère du Tourisme et de l’Économie créative (Kemenparekraf) a révélé avoir reçu des commentaires du PDG de Capital A Berhad, la société aérienne mère d’AirAsia, Tony Fernandes, concernant les prix nationaux des billets d’aviation.

« Les contributions de père Tony Fernandes ont été reçues par les médias et c’est en effet devenue notre conclusion », a déclaré le ministre du Tourisme et de l’Économie, Sandiaga Salahuddin Uno, à Jakarta, cité par Antara, mardi 10 septembre.

Les trois facteurs qui pèlerent gravement sur l’industrie de l’aviation, a-t-il poursuivi, sont les impôts, les douanes et aussi l’avtur.

Le ministère du Tourisme, qui a également été impliqué dans le groupe de travail (Task Force), la réduction des prix des billets d’avions, a révélé qu’actuellement entre les ministères s’efforcent de faire face à la fin d’octobre que les prix des billets d’avions en Indonésie soient plus abordables.

« Donc, fin octobre, nous espérons que le prix des billets pourra être plus abordable. Au moins, en baisse de 10% de notre objectif initial », a conclu Sandiaga.

On sait, auparavant, que le PDG de Capital A Berhad, la société aérienne mère d’Air Asia, Tony Fernandes, a révélé qu’il y avait plusieurs obstacles rencontrés par les compagnies aériennes, ce qui entraîne des difficultés à apporter des billets d’aviation nationaux abordables en Indonésie, dont l’un est un prix élevé de 28% par rapport à d’autres pays de l’ASEAN.

« Le prix du carburant en Indonésie est le plus élevé dans l’ASEAN, soit environ 28% », a déclaré Tony.

Il a également révélé l’existence d’une double taxe imposée sur les vols intérieurs, à savoir des taxes imposées sur le carburant des avions et les prix des billets.

Il a également proposé d’enlever les droits de l’entrée pour les pièces d’avions afin de réduire considérablement la structure des coûts opérationnels de la compagnie aérienne.

Tony a également proposé au gouvernement de réviser la politique des tarifs de limite pour les billets aériens nationaux.

Selon lui, ce examen de la limite pourrait offrir aux compagnies aériennes plus de flexibilité dans l’établissement de prix basés sur la demande et les coûts opérationnels dynamiques, tout en encourageant une concurrence saine dans l’industrie de l’aviation.


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