JAKARTA - Le Comité d’éthique de la FIFA a décidé de mettre fin à l’affaire de son président, Gianni Infantino, qui fait face à une enquête en Suisse sur la collusion criminelle présumée avec le procureur général suisse.
« Après avoir examiné les documents et éléments de preuve pertinents, le président de l’organe d’enquête a décidé de porter plainte et de clore l’affaire en raison de l’absence de preuves de violations présumées du code de conduite de la FIFA », a déclaré la FIFA dans un communiqué cité par Antara vendredi.
Infantino, président de la FIFA depuis 2016, fait l’objet d’une enquête du tribunal pénal suisse pour collusion présumée avec le procureur général suisse Michael Lauber. Lauber a démissionné le mois dernier pour son implication dans une enquête sur la corruption de la FIFA.
La FIFA a ouvert une enquête préliminaire sur Infantino à la suite d’informations faisant état de violations présumées de l’éthique. Il s’agissait notamment de réserver un avion privé du Suriname à Genève et sa rencontre avec Lauber.
Toutefois, le pouvoir judiciaire indépendant n’a pas trouvé suffisamment de preuves pour mener d’autres enquêtes.
« Sur la base des informations disponibles à ce jour, il n’y a aucune preuve de conduite qui viole les règles de la FIFA. Certains aspects ne sont même pas inclus dans le code de conduite de la Fifa, pas plus qu’ils ne sont des motifs de licenciement temporaire », indique le communiqué.
Infantino a déjà insisté sur le fait qu’il ne cachait rien, bien que le parquet suisse ait mené une enquête à son sujet.
Dans une lettre envoyée aux 112 membres de la FIFA, Infantino a déclaré qu’il n’y avait aucune raison d’une enquête criminelle contre lui.
Infantino et Lauber auraient tenu une série de réunions secrètes en 2016 et 2017. Mais il a insisté sur le fait que la réunion n’était qu’une tentative de rétablir la confiance du public dans l’institution qu’il dirigeait après le scandale.
Un avocat anticorruption représentant Infantino a déclaré qu’il était confiant que l’affaire serait rejetée.
Jean-Pierre Mean, un expert anticorruption engagé par la FIFA en mai dernier, a également déclaré qu’il n’y avait rien de mal à avoir une réunion avec un avocat, quoique officieusement.
« C’est très inhabituel et non pas un acte criminel », a déclaré Mean.
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