Yasonna Laoly : Il Y A 1 100 Demandes De Retard De Faillite Pour Payer Des Dettes

La ministre des Droits de l’homme Yasonna Laoly/ANTARA

Jakarta - La ministre du Droit et des Droits de l’Homme, Yasonna H Laoly, a déclaré que les données de cinq tribunaux de commerce en Indonésie montraient qu’entre avril 2020 et juillet 2021, il y avait eu 1 100 nouvelles demandes de faillite et des retards dans les obligations de paiement de la dette.

« Ce n’est pas seulement en Indonésie, cela se produit aussi dans certains pays du monde. Même ces pays prennent des politiques pour retarder le paiement de la dette et retarder l’insolvabilité », a déclaré Laoly.

L’Indonésie, a-t-il poursuivi, devrait également prendre les mêmes mesures qu’un certain nombre de pays en ce qui concerne les retards dans le paiement de la dette et les questions d’insolvabilité.

L’effondrement économique est un impact réel de la pandémie de Covid-19 qui s’est produite depuis le début de l’année 2020.

Néanmoins, le gouvernement n’est pas resté silencieux et a fait un certain nombre d’efforts et de politiques pour encourager l’accélération de la croissance économique nationale.

« La politique, entre autres, prévoit un assouplissement qui se traduit par une restructuration du crédit de plus de 1 400 milliards de roupies », a déclaré Laoly.

D’une part, cela oblige les banques à être très prudentes dans la gestion des finances pour aider les entrepreneurs à restructurer leurs dettes.

Par conséquent, a poursuivi le ministre des Droits de l’homme, le gouvernement ne veut pas que l’insolvabilité d’une entreprise se produise. Parce que cela aura un impact direct sur la main-d’œuvre parce que l’entreprise pour laquelle ils travaillent est fermée.

En particulier sur la question de l’insolvabilité, le gouvernement discute actuellement de la possibilité d’un moratoire sur l’insolvabilité et le retard de paiement de la dette (PKPU). L’objectif est de résister à l’émergence de nouvelles applications.

Dans le même temps, le gouvernement est également en train de réviser la loi n° 37/2024 sur l’insolvabilité et la PKPU, qui devrait être achevée d’ici la fin de 2021.