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JAKARTA - Français autorités prévoient de reprendre la fermeture des mosquées et des associations musulmanes d’ici la fin de 2021, selon une annonce faite par le ministre de l’Intérieur Gerald Darmanin.

Darmanin a déclaré que les mosquées et les associations, qui seront fermées d’ici la fin de l’année, étaient soupçonnées de promouvoir l’islamisme radical dans son annonce de mardi dernier.

En outre, Gérald Darmanin a également salué la décision de fermer une mosquée dans la ville d’Allonnes pendant six mois pour défendre l’islam radical, le compte bancaire gérant la mosquée ayant également été confisqué.

Il a en outre expliqué que 13 associations ont été fermées dans le pays depuis l’entrée en fonction d’Emmanuel Macron à la présidence. Au total, 92 des 2 500 mosquées du pays ont été fermées en raison des inspections effectuées par les autorités compétentes.

Dans le même temps, environ 36 000 permis de séjour étrangers ont été annulés depuis septembre 2020, au motif que ces personnes sont soupçonnées de menacer l’ordre public.

En août dernier, la plus haute autorité constitutionnelle française a approuvé une loi controversée sur « l’anti-séparatisme » qui a suscité des critiques pour avoir acculé les musulmans et supprimé seulement deux articles.

Le projet de loi a été adopté par l’Assemblée nationale en juillet, malgré la forte opposition des législateurs d’extrême droite et de gauche.

Cependant, le gouvernement affirme que la loi vise à renforcer le système laïque français. Pendant ce temps, les critiques estiment que la loi limite la liberté religieuse et marginalise les musulmans.

Le projet de loi a également été critiqué pour avoir ciblé la plus grande communauté musulmane de France en Europe, avec 3,35 millions de membres, ainsi que pour avoir imposé des restrictions sur de nombreux aspects de leur vie.

La loi permet aux fonctionnaires d’intervenir dans les mosquées et les associations responsables de leur administration, ainsi que de contrôler les finances des associations affiliées aux musulmans et des organisations non gouvernementales (ONG). La loi limite également les options d’éducation musulmane en soumettant l’enseignement à domicile à une autorisation officielle.

Non seulement cela, en vertu de la même loi, il est interdit aux patients de choisir leur médecin en fonction de leur sexe pour des raisons religieuses ou autres, et « l’éducation à la laïcité » a été rendue obligatoire pour tous les fonctionnaires.

A noter que la France a été critiquée par des organisations internationales et des ONG, en particulier les Nations Unies, pour avoir ciblé et marginalisé les musulmans par la loi.


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