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JAKARTA - Le témoin présenté par Rizieq Shihab, Muhammad Mahidi a mentionné le maire de Bogor, Bima Arya Sugiarto, avait l’intention de révoquer le rapport des résultats de l’essai d’écouvillon de l’hôpital UMMI. Mais en fin de compte, l’affaire s’est poursuivie.

La déclaration sur la rétractation du rapport a été prononcée par le témoin lorsque l’avocat de Rizieq Shihab a mentionné au sujet d’une rencontre entre Muhammad Mahidi et Bima Arya.

Des témoins ont reconnu la rencontre. La réunion à l’hôtel de ville de Bogor le 29 novembre 2020, selon des témoins, a réuni plusieurs responsables.

« Essentiellement, il ya un maire il ya aussi Satpol PP, président de Satpol PP en tant que dénonciateur il ya ummi hôpital. Il y a des chiffres habaib chiffres kiai Bogor Ville région, avec un dialogue détendu, même je parle de la façon dont l’état du pays », a déclaré Mahdi lors d’une audience à l’Est Jakarta District Court, mardi, Mai 11.

Au cours de la réunion, selon lui, bima Arya a fait une déclaration qui révoquerait le rapport des résultats de l’écouvillon de l’hôpital UMMI.

« Parce que le discours était seulement axé sur moi, juste clarifier pourquoi faire rapport et il a répondu « habib nous insyaallah va révoquer le rapport » c’est tout, a déclaré Mahdi imitant le discours de Bima Arya.

Mais le rapport n’a jamais été rétracté.  Le cas des résultats des tests d’écouvillon de l’hôpital UMMI kin a été inclus dans l’étape de l’essai.

Dans cette affaire, Rizieq Shihab a été accusé d’avoir diffusé de fausses nouvelles ou des canulars qui ont causé des ennuis. Ces fausses nouvelles liées à son état de santé qui a été confirmé positif COVID-19 alors qu’il était à l’hôpital UMMI Bogor, Java-Ouest.

Rizieq Shihab a été inculpé de l’article 14 paragraphe (1), paragraphe (2), article 15 de la loi n° 1 de 1946 concernant le règlement du droit pénal et/ou article 14 paragraphe (1), paragraphe (2) de la loi n° 4 de 1984 concernant les flambées de maladies infectieuses et/ou l’article 216 du Code pénal jo article 55 paragraphe (1) du 1er Code pénal.


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