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JAKARTA - Apparemment pas vu et entendu parler depuis longtemps, myanmar leader Aung San Suu Kyi est dit être en bonne santé. Cette nouvelle a été transmise par l’un de ses avocats, fourni par son parti, la Ligue nationale pour la démocratie (LND).

Depuis sa détention lorsque le régime militaire du Myanmar a lancé un soulèvement le 1er février, on ne sait pas où Suu Kyi a été détenue. Depuis, elle n’a vu personne, y compris son avocat en personne.

Min Min Soe, l’un des avocats de Suu Kyi, a réussi à faire une communication vidéo avec Aung San Suu Kyi le mercredi 31 mars. Elle a déclaré que la lauréate du prix Nobel de la paix voulait rencontrer des avocats en personne et n’a pas accepté d’avoir de longues discussions vidéo devant la police.

« Amay (Aung San Suu Kyi) a l’air en bonne santé, a une bonne peau », a déclaré Min Min Soe, selon Reuters. Amay est un terme au Myanmar qui signifie « mère ».

« Seules les poursuites judiciaires contre elle depuis le coup d’État ont été discutées lors de la vidéoconférence », a poursuivi l’avocat.

Aung San Suu Kyi fait actuellement face à plusieurs accusations du régime militaire du Myanmar. Plus récemment, elle aurait reçu des pots-de-vin de plus de 550 000 dollars des États-Unis, soit environ 704,79 millions de kyats ou 7,9 milliards d’IDR d’un développeur local nommé U Maung Waik, le propriétaire de Say Paing Company.

Suu Kyi a également été accusée d’avoir accepté un pot-de-vin de 600 000 000 dollars américains et plus de 11,43 kg d’or du ministre en chef de la région de Yangon U Phyo Min Thein, détenu entre décembre 2017 et mars 2018.

Outre les accusations de corruption, Aung San Suu Kyi fait également face à quatre chefs d’accusation du régime militaire du Myanmar depuis le coup d’État du 1er février dernier. À partir de l’incitation, les violations des importations, et l’utilisation de talkies-walkies sans permission, à violer les restrictions sur COVID-19 qui lui a fait face à la menace de 9 ans de prison.

Le plan, Aung San Suu Kyi sera de retour au procès le jeudi 1er avril. Le procès inaugural s’est tenu le 16 février et le deuxième procès le 1er mars. Entre-temps, le troisième procès du 15 mars et le quatrième procès du 24 mars ont été reportés, parce que l’accès à Internet au Myanmar a été coupé.

A noter qu’au moins 521 civils sont morts dans les manifestations, dont 141 samedi, jour le plus sanglant des émeutes, selon l’Association d’assistance aux prisonniers politiques (AAPP).

Coup d’État au Myanmar. L’équipe éditoriale de VOI continue de suivre la situation politique dans l’un des pays membres de l’ANASE. Les victimes civiles continuent de chuter. Les lecteurs peuvent suivre les nouvelles entourant le coup d’État militaire du Myanmar en tapant sur ce lien.


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