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JAKARTA - Les gardiens côtiers chinois disent que les raisons humanitaires sont l’arrière-plan de l’autorisation des Philippines d’évacuer une personne tombée malade sur un bateau de guerre pneumatique bloqué à la deuxième Thomas Shoal. Les réclamations ont été répondues par les gardiens côtiers de Manille comme étant un « ridicule » « Cette déclaration confirme le déploiement illégal de navires dans nos ZEE (zones économiques exclusives) et souligne la vision de leur gouvernement selon laquelle la préservation des vies et le bien-être humain nécessite l’approbation », a déclaré le porte-parole de la garde côtière philippine (PCG), Jay Tarriela, à X, cité par Reuters, mercredi 10 juillet. Dans un communiqué, la Garde côtière chinoise a déclaré qu’elle surveillait toutes les opérations de sauvetage dimanche, ce qui, selon un porte-parole, a été réalisée à la demande des Philippines. Cependant, selon la garde côtière philippine, de nombreuses manœuvres ont entraîné et retardé la part de la garde côtière chinoise lors des évacuations médicales. Il y a un mois, PCG a accusé son partenaire chinois d’avoir bloqué l’évacuation médicale du navire de guerre, qualifiant les actions de « catapultes et inhumaines ». Le ministère chinois des Affaires étrangères a déclaré le même jour que la Chine permettrait aux Philippines d’envoyer desapprovisionnements et d’évacuer le personnel si la Manille informerait Pékin avant la mission. Les Philippines ont des soldats vivant à bord d’un vieux bateau de guerre roulant sur le deuxième Thomas Shoal, qui a été délibérément interdit par Manille en 1999 pour renforcer ses revendications maritimes. L’armée chinoise a affronté à plusieurs reprises les forces philippines tentant de rapatrier le navire souterrain. La Chine revendique la majeure partie de la mer de Chine méridionale, le principal canal commercial annuel transporté par les navires d’une valeur de 3 000 milliards de dollars, comme son propre territoire. Pékin a rejeté la décision de 2016 de la Cour d’arbitrage permanent basée à La Haye selon laquelle ses affirmations maritimes répandues n’avaient pas de base juridique.

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