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JAKARTA - Le chef de l’Église mondiale, le pape François, a rencontré le leader musulman chiite irakien, l’ayatollah Ali al-Sistani, le samedi 6 février, heure locale.

Cette rencontre de 45 minutes dans la ville sainte de Najaf est devenue l’histoire d’une rencontre du pape avec d’éminentes personnalités chiites musulmanes. On croit que la rencontre symbolise le désir de coexister entre les oummaments religieux.

Au cours de cette réunion, retransmise à la télévision al-Iraqiya, l’ayatollah Ali al-Sistani a remercié le pape François d’avoir tenté de se rendre à Najaf.

« Les chrétiens d’Irak doivent vivre comme tous les Irakiens dans la sécurité et la paix et avec tous leurs droits constitutionnels », a déclaré Ali al-Sistani dans un communiqué publié par son bureau, tel que rapporté par Reuters.

Après avoir rencontré l’ayatollah Ali al-Sistani, le pape François a visité le lieu de naissance du prophète Ibrahim ou du prophète Abraham, le prophète très respecté des musulmans, des chrétiens et des juifs dans votre.

« De ce lieu, où la foi est née, de la terre de notre père Abraham, affirmons que le Seigneur est miséricordieux et que le plus grand blasphème est de le diffamer en haïssant nos frères et sœurs », a déclaré le pape François.

Depuis la tombe d’Abraham, le pape François a félicité les jeunes musulmans d’avoir aidé les chrétiens à améliorer leurs églises, endommagées par les attentats terroristes.

Le pape, qui a entamé vendredi une visite de quatre jours en Irak à Bagdad, doit messer samedi soir à la cathédrale Saint-Joseph de Caldea, dans la capitale.

Dimanche, il s’est rend au nord de Mossoul, un ancien bastion de l’Etat islamique, où des églises et d’autres bâtiments y détiennent encore des traces du conflit.


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