JAKARTA - Le bureau du procureur de l’Union européenne (UE) est en charge de l’enquête belge sur des crimes présumés commis par la présidente de la Commission européenne, Ursula von der Leyen, liés au vaccin contre la COVID-19.
Le procureur général européen enquête sur la question de savoir si Von der Leyen, qui se présentera à nouveau comme patron de l’UE, est coupable d’une affaire présumée de « interférence avec les services publics, de l’éradication de SMS, de la corruption et de conflits d’intérêts », selon le dossier judiciaire consulté par Politiico.
Le bureau du procureur général de Belgique à Liege au début de 2023 a ouvert l’enquête après avoir reçu une plainte du lobbyiste local Frederic Baldan, qui a accusé Von der Leyen d’avoir commis des actes illégaux pour avoir communiqué personnellement avec le PDG de Pfizer, Albert Bourla, lors de la pandémie en 2021.
Rapporté par ANTARA de Spoutnik, lundi 1er avril, la Commission européenne assume la responsabilité de la distribution du vaccin contre la COVID-19 dans l’Union européenne sur la base d’un programme d’approvisionnement partagé et stocke des stocks de vaccins d’une valeur de plus de 20 milliards d’euros (environ 341,7 billions de roupies).
Politique a signalé des centaines de millions de doses de vaccin non utilisées, causant des pertes d’environ 4 milliards d’euros.
La Hongrie et la Pologne ont participé au procès de Baldan, bien que le gouvernement polonais ait commencé à se retirer du procès après que Donald Tusk, pro-UE, soit devenu Premier ministre de Pologne en novembre.
Les deux pays seraient poursuivis par Pfizer – le géant américain pharmaceutique – pour avoir arrêté la livraison de vaccins et ne pas avoir effectué de paiements sur les raisons d’excès de stock.
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