Le génocide d'Israël, la Chine appelle à un cessez-le-feu
DOKUNICEF/Gaza

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JAKARTA - Avant la première session de la Cour internationale de justice (CPI) sur le procès sud-africain contre le génocide d’Israël présumé à Gaza, la Chine a appelé les parties impliquées à appeler à appeler au cessez-le-feu.

« Nous exhortons les parties au conflit à appliquer sérieusement les résolutions adoptées par le Conseil de sécurité et l’Assemblée générale de l’ONU, à parvenir immédiatement à un cessez-le-feu complet et à mettre fin à la violence collective contre le peuple de Gaza », a déclaré le porte-parole du ministère chinois des Affaires étrangères, M.o., lors d’une déclaration aux médias à Pékin.

La Cour internationale (CPI) tenra une audience préliminaire concernant le procès sud-africain (Afsel) sur le génocide présumé d’Israël dans la bande de Gaza, en Palestine, du jeudi au vendredi (11 au 12 janvier 2024).

Afsel a demandé à la Cour internationale d’émettre une ordonnance visant à cesser les attaques israéliennes sur Gaza depuis le début du conflit israélo-palestinien le 7 octobre 2023.

« La Chine déplore le nombre de victimes civiles causées par le conflit palestinien-israélien en cours. Nous nous opposons à toute action qui viole le droit international », a déclaré M.I. Wang.

La guerre palestinienne-israélienne qui s’est produite depuis le 7 octobre 2023 a tué au moins 23 084 Palestiniens et en a blessé 58.926 autres. Les autorités israéliennes affirment que les attaques menées par le Hamas début octobre avaient tué environ 1 200 Israéliens.

Les frappes israéliennes ont provoqué des dégâts à Gaza, avec 60% des infrastructures de la région endommagées ou détruites et près de deux millions d’habitants déplacés dans un contexte de pénuries de nourriture, d’eau potable et de drogues.

Israël et l’Afrique du Sud sont les pays qui ont ratifié la Convention des Nations Unies sur le génocide de 1948. C’est-à-dire que tous les pays qui signent la convention doivent ne pas commettre de génocide et ne pas empêcher le génocide.

Le JCI, en tant qu’institution juridique la plus haute des Nations Unies, a une juridiction pour traiter la poursuite sud-africaine contre Israël.

Plusieurs pays tels que la Malaisie, la Bolivie, la Jordanie et la Turquie ont salué le début de la procédure judiciaire contre Israël présentée par Afsel devant la Cour internationale. L’Organisation de coopération islamique (OCI) a également soutenu cette décision par le biais de sa déclaration officielle.

D’autre part, les États-Unis considèrent la décision sud-africaine de traîner le génocide présumé d’Israël devant la JCI comme une mesure inutile.

Washington a également qualifié les mesures de « inappropriée, contre-productive et n’avait aucune base ».

Pendant ce temps, le ministre indonésien des Affaires étrangères, Retno Marsudi, publiera une opinion orale devant l’ICJ le 19 février 2024.

La présence du ministre des Affaires étrangères de Retno vise à encourager la Cour internationale à fournir un avis juridique (opinion consultative) demandé par l’Assemblée générale de l’ONU.


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