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JAKARTA - Au moins 103 personnes ont été tuées et 188 autres blessées mercredi lors de deux explosions près du cimetière du commandant militaire iranien principal dans la ville iranienne de Kerman.

L’explosion qui s’est produite lors du quatree anniversaire de la mort du commandant iranien des forces Quds de l’IRGC, le major-général Qassem Soleimani, dont l’un était soupçonné d’être une bombe, a déclaré la télévision d’État, serait considéré comme ayant augmenté les tensions en raison du conflit dans la région.

La première explosion s’est produite à 2 300 pieds (700 mètres) de la tombe de Soleimani, et la deuxième explosion s’est produite à 0,6 miles (1 kilomètre) de loin alors que des pèlerins ont visité le site, selon l’IRNA, cité par CNN le 4 janvier.

Pendant ce temps, une autre chaîne de télévision publique, IRINN, a signalé que la première explosion près de la tombe de Soleimani avait été causée par une bombe placée à l’intérieur d’une valise à l’intérieur d’une voiture Peeta 405. Il aurait explosé à distance.

Le ministre iranien de l’Intérieur, Ahmad Vsti, a déclaré que la première explosion s’était produite à 15h00 heure locale, lors d’une interview accordée à la chaîne d’information officielle iranienne IRIB. Alors que la deuxième explosion plus meurtrière s’est produite 20 minutes plus tard, lorsque d’autres pèlerins sont venus aider les blessés, a poursuivi Vsti.

Aucun groupe n'a prétendu être responsable de l'explosion.

Téhéran a déclaré jeudi comme un jour tristes après l’explosion. Le président iranien Ebrahim Raisi a annulé son voyage en Turquie après l’explosion.

On sait qu’il y a quatre ans, le major-général Soleimani a été tué dans des frappes aériennes américaines ordonnées par le président de l’époque, Donald Trump, à l’aéroport international de Bagdad, en Irak. Les forces de Quds dirigées par lui sont une unité d’élite de la Garde révolutionnaire iranienne (IRGC) qui gère des opérations à l’étranger.

Par ailleurs, le président russe Vladimir Poutine a condamné le terrorisme sous diverses formes, dans une lettre au dirigeant suprême iranien, l’ayatollah Ali Khamenei, et au président iranien Ebrahim Raisi après l’explosion.

Le secrétaire général de l’ONU, Antonio Guterres, et l’Union européenne, ont condamné l’explosion de mercredi, appelant à leurs auteurs à tenir leurs coupables responsables.


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