JAKARTA - Le président turc Recep Tayyip Erdogan a déclaré au secrétaire général de l’ONU, Antonio Guterres, qu’Israël devait être tenu responsable devant les tribunaux internationaux pour ce qu’il a appelé des crimes de guerre commis à Gaza.
Lors d’une conversation téléphonique avant une réunion du Conseil de sécurité de l’ONU sur Gaza prévue mercredi à New York, heure locale, les présidents Erdogan et Guterres ont discuté des « espoirs de la communauté internationale sur les attaques illégales d’Israël, l’accès à l’aide humanitaire dans la région et les efforts pour une paix durable, a déclaré la présidence turque.
« Lors de l’appel téléphonique, le président Erdogan a déclaré qu’Israël continuait de faire preuve de honte devant le droit international, le droit de guerre et le droit international humanitaire, sans honte devant les yeux de la communauté internationale, et qu’Israël devait être responsable des crimes commis devant le droit international », a-t-il déclaré dans un communiqué, cité par Reuters le 29 novembre.
Selon les autorités sanitaires de Gaza, plus de 15 000 personnes ont été tuées après que les autorités israéliennes ont bombardé, bloqué et mené des opérations terrestres sur le territoire palestinien.
Cela intervient après que le groupe militant palestinien Hamas a attaqué le territoire sud d'Israël le 7 octobre, tuant environ 1 200 personnes et en otageant 240 autres.
Pendant ce temps, le ministère turc des Affaires étrangères a déclaré que le ministre des Affaires étrangères, Hakan Fidan, assistait à une réunion du Conseil de sécurité de l’ONU à New York.
Dans une déclaration, ils ont ajouté que le ministre des Affaires étrangères Fidan tenra également une réunion avec ses homologues dans le cadre d’un groupe de contact de plusieurs pays musulmans, formé ce mois-ci par la Ligue arabe et l’Organisation de coopération islamique (OCI) pour discuter de Gaza avec les pays occidentaux et les pays islamiques.
La Turquie condamne fermement l’attaque israélienne à Gaza et appelle à un cessez-le-feu immédiat afin de permettre des discussions sur une solution à deux États au conflit israélo-palestinien plus large.
Le président Erdogan lui-même a qualifié l’attaque israélienne de génocide et a accusé Israël d’un « état de terreur ». Israël a rejeté les allégations, affirmant qu’il agissait pour se défendre contre un ennemi qui est déterminé à le détruire.
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