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JAKARTA - Le chef de la police nationale, le général Idham Azis, a souligné que l’État ne doit pas être inférieur aux organisations communautaires (organisations de masse) qui utilisent des méthodes de voyous pour entraver le processus d’application de la loi en Indonésie.

Idham l’a fait savoir dans le cadre des efforts déployés pour bloquer la police par le Front islamique des défenseurs (FPI) lors de la remise d’une convocation à Habib Rizieq Shihab à Petamburan, dans le centre de Jakarta.

« L’État ne doit pas être inférieur aux organisations de masse qui mènent des actions de voyous. Nous les brosserons tous. L’Indonésie est un État de droit. Tous les éléments doivent être en mesure de maintenir l’ordre public et la sécurité », a déclaré Idham dans sa déclaration, jeudi 3 décembre.

Le général quatre étoiles a demandé à toutes les parties prenantes, voire aux organisations de masse, de se conformer au parapluie juridique en vigueur en Indonésie.

Selon lui, la menace pénale est clairement réglementée pour les parties qui tentent d’entraver le processus d’application de la loi en Indonésie.

« Il existe des sanctions pénales pour ceux qui tentent d’empêcher les agents de mener à bien le processus d’application de la loi », a déclaré Idham.

D’autre part, Idham a assuré que la police nationale enquêterait en profondeur sur les cas de violations présumées de la quarantaine sanitaire, à savoir dans ce cas la violation présumée du protocole de santé (prokes) lors de plusieurs événements en présence de Rizieq.

« La police nationale priorise toujours le principe de Salus Populi Suprema Lex Esto ou la sécurité du peuple est la plus haute loi », a déclaré l’ancien chef de l’Unité des enquêtes criminelles de la police.

Des nouvelles précédentes, la police nationale menait une enquête sur la violation présumée des protocoles de santé lors de l’événement Rizieq comme indiqué à l’article 93 de la loi numéro 6 de 2018 concernant la quarantaine sanitaire qui se lit comme suit: Toute personne qui ne se conforme pas à la mise en œuvre de la quarantaine sanitaire comme mentionné à l’article 9 paragraphe (1) et / ou entrave - obstruction à la mise en œuvre de la quarantaine sanitaire, ce qui entraîne une urgence de santé publique d’être puni d’une peine d’emprisonnement pouvant aller jusqu’à 1 (un) an et / ou une amende maximale de Rp 100.000.00.00 (cent millions de roupies).

Dans le même temps, l’article 216 (1) du Code pénal stipule que quiconque ne se conforme délibérément pas aux ordonnances ou aux demandes faites conformément à la loi par un fonctionnaire dont le travail consiste à superviser quelque chose, ou par un fonctionnaire en fonction de ses fonctions, ainsi que ceux qui ont le pouvoir d’enquêter ou d’examiner un acte criminel; De même, toute personne qui empêche, entrave ou contrecarre délibérément des actions visant à faire respecter les dispositions de la loi par l’un de ces fonctionnaires est punie d’une peine d’emprisonnement maximale de quatre mois et deux semaines ou d’une amende maximale de Rp. 9 000.

Comme on le sait, l’article 160 du Code pénal lui-même stipule que « toute personne qui, oralement ou par écrit, incite à commettre un acte criminel, commet des violences contre une autorité publique ou ne se conforme ni aux dispositions de la loi ni à une ordonnance de position rendue sur la base des dispositions de la loi, est menacée d’une peine d’emprisonnement maximale de six ans ou d’une amende maximale de Rp4. ,500.


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