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JAKARTA - Toto Santoso Hadiningrat et Fanni Aminadia qui sont le roi et l’impératrice de Keraton Agung Sejagat ont été arrêtés par la police. Accusé de fraude. Tous deux ont été arrêtés par la police en raison de rapports du public qui s’inquiétaient de leur localisation.

Karo Penmas Div Police des relations publiques Le brigadier-général Argo Yuwono a déclaré que la fraude commise par ces deux personnes est en demandant de l’argent à ses partisans. L’argent est utilisé pour payer les attributs ou les vêtements du palais.

« (L’argent est utilisé) pour payer les uniformes, les cartes de membre et ils livrent également les symboles du royaume », a déclaré Argo à Jakarta, mercredi 15 Janvier.

Cette affaire s’est produite à Purworejo. Mais, les victimes de Keraton Agung Sejagat ne viennent pas seulement de là, d’un certain nombre de régions. Toutefois, la police ne l’a pas divulgué.

Actuellement, les enquêteurs de la Direction des enquêtes criminelles publiques de la police centrale de Java examinent un certain nombre de témoins. 17 témoins ont été interrogés, dont des résidents locaux et des voisins qui sont au courant des activités des deux suspects.

Le roi du Palais Royal Sejagat Toto Santosa Hadiningrat (Photo: Twitter
@aritsantoso)

Pendant ce temps, le chef de la police centrale de Java Irjen Rycko Amelza Dahniel a déclaré que les deux suspects n’étaient pas mari et femme, bien que les deux se sont déclarés rois et impératrices.

Basé sur la carte d’identité (KTP) ils ne sont pas originaires de Purworejo, Java Central. Les deux seraient domiciliés dans la région de DKI Jakarta.

« Ce suspect (Toto) sa carte d’identité à Ancol, au nord de Jakarta. Bien qu’il soit reconnu comme l’impératrice n’est pas sa femme (Fanni), à Kalibata, au sud de Jakarta », a déclaré Rycko.

Permaisuri Keraton Agung Sejagat Dyah Gitarja (Photo: Twitter @aritsantoso)

Les deux suspects ont été arrêtés par des membres de la Direction des enquêtes criminelles publiques de la police centrale de Java, hier, mardi 14 janvier, vers 18 heures.m. À la fin de cette arrestation, la police a confisqué un certain nombre de preuves, y compris de faux documents relatifs au recrutement de membres du palais.

D’après les résultats de l’examen, leurs actes sont jugés répondre à l’élément criminel. Ainsi, pour toutes leurs actions, elles sont prises au piège par l’article 14 de la loi n° 1 de 1946 et l’article 378 du Code pénal.


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