Israël aurait piraté les téléphones d’ONG palestiniennes considérées comme des terroristes en utilisant le logiciel espion Pegasus. Le premier piratage détecté a été signalé en juillet 2020, tandis que l’intrusion la plus récente s’est produite en avril 2021.
Les téléphones de six membres d’une organisation non gouvernementale palestinienne de défense des droits de l’homme ont été piratés avec Pegasus, un logiciel espion de qualité militaire développé par la société israélienne NSO, a révélé lundi un groupe irlandais de défense des droits de l’homme, Front Line Defenders.
Dans son rapport, le groupe a déclaré que des ONG piratées par un autre addameer; Al-Haq; Défense des enfants – Palestine; Comité du Syndicat des travailleurs agricoles; Le Centre de recherche et de développement de Bisan et le Comité de l’Union des femmes palestiniennes.
Citant Sputnik News le 9 novembre, tous ces groupes ont été désignés comme des « organisations terroristes » par le ministre israélien de la Défense Benny Gantz le 19 octobre 2021. Les Front Line Defenders ont suggéré qu’une telle désignation aurait pu être faite, pour être utilisée comme prétexte pour pirater des téléphones appartenant à des membres d’ONG.
Le rapport indique que la première intrusion détectée s’est produite en juillet 2020 et s’est poursuivie jusqu’en avril 2021. Au total, 75 téléphones utilisés par des militants pro-palestiniens ont été piratés, a conclu le groupe. Ces informations ont été confirmées par le Security Lab et le Citizens Lab d’Amnesty International, car les deux groupes ont de l’expérience dans l’identification et la découverte de cas où Pegasus a été utilisé.
Ce n’est pas la première fois que le logiciel espion Pegasus fait les gros titres. Plus tôt cette année, le gouvernement américain a cité des preuves que NSO avait fourni son logiciel à des « gouvernements étrangers » qui l’utilisaient pour « cibler des représentants du gouvernement, des journalistes, des hommes d’affaires, des artistes, des activistes, des universitaires et des employés d’ambassade ».
Une enquête médiatique à grande échelle a révélé en juillet que Français téléphone du président Emmanuel Macron figurait parmi les 50 000 cibles possibles du logiciel espion Pegasus.
La société a nié les allégations, soulignant qu’elle avait toujours fait tout son possible pour empêcher que ses logiciels espions ne soient utilisés à mauvais escient.
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