Mystère De 3 Brins De Fourrure De Chien Dans La Maison D’un étudiant Japonais Tué Il Y A 25 Ans
Jusqu’à ce que cette nouvelle soit lue, qui est le tueur de Junko Kobayashi est toujours l’un des cas mystères non résolus au Japon. L’âge de cette affaire est de 25 ans.
Des étudiants de l’Université Sophia à Tokyo qui se spécialisaient en anglais cette année ont été assassinés sadiquement le 9 septembre 1996. Deux jours plus tard, Junko Kobayashi était en route pour les États-Unis pour poursuivre ses études.
Sur le campus, Junko Kobayashi est connue comme une fille qui participe activement à diverses activités. Il a rejoint divers clubs et a souvent enseigné aux enfants à apprendre l’anglais. L’objectif de Junko est de devenir un journaliste fiable.
La maison de Junko Kobayashi à Tokyo - à 1 300 mètres au sud de la gare JR Kanamachi - a brûlé et la femme était à l’intérieur. La police a confirmé que Junko n’était pas mort des suites de l’incendie.
Selon le département de la police métropolitaine de Tokyo, Junko a été retrouvé avec la couverture de son père enveloppée dans la couverture de son père au deuxième étage. La bouche et les mains de Junko étaient fermement plâtrées, tandis que ses jambes étaient attachées avec des bas. La police a trouvé des coups de couteau à six endroits différents dans le cou de Junko. La plupart sont à droite.
Peu importe le suspect. Les traces des seuls auteurs sont comme être perdus avalés par la terre. La police a interrogé plus de 75 000 témoins et plus de 1 000 pistes ont fait l’objet d’une enquête. La police n’a pas été en mesure de déterminer le suspect du meurtre.
13 ans après l’incident, en janvier 2009, la police a trouvé des preuves cruciales sur le plâtre utilisé par l’agresseur. Il existe trois types de fourrure de chien attachée au ruban adhésif transporté et utilisé par les criminels. La famille de Junko n’a jamais eu de chien.
La police pense qu’il est probable que le criminel vivait entouré de nombreux chiens. Une boîte d’allumettes près de l’autel bouddhiste au 2ème étage était tombée près de l’entrée au 1er étage. C’est là qu’il est révélé le sang de type A qui appartiendrait à l’auteur. On pense que les boîtes d’allumettes ont été utilisées par des criminels pour allumer des feux.