La Police Du Kalimantan Du Sud Confisque 606 Bouteilles De GPL De 3 Kg Vendues Au-dessus Du Prix De Détail Le Plus élevé
BANJARMASIN - La police régionale du Kalimantan du Sud a confisqué jusqu’à 606 bouteilles de GPL de 3 kilogrammes qui ont été vendues dans une base à Banjarmasin au-dessus du prix de détail le plus élevé (HET).
« Nous avons désigné le propriétaire avec les initiales T comme suspect », a déclaré le chef de la sous-direction 1 Indagsi de la police du Kalimantan du Sud, AKBP Ridwan Raja Dewa, à Banjarmasin, cité par Antara, vendredi 27 août.
L’Adp-un de la base gpl qui a fait l’objet d’une enquête a son adresse à Pangeran Hidayatullah Street, Benua Anyar, Banjarmasin avec le nom commercial Pangkalan Muhammad Torik.
La police a d’abord enquêté en surveillant les activités de la base, afin de suivre les informations publiques.
Le mardi 24 août, quatre personnes qui achetaient du GPL en grande quantité à la base ont été arrêtées pour 18 000 à 20 000 IDR par tube.
« Ces quatre personnes ont donc acheté du GPL pour le revendre à 23 000 IDR par cylindre », a déclaré Ridwan.
Sur la base de ces aveux, la police a pris des mesures contre la base qui s’est avérée avoir violé la disposition HET de 17 500 IDR selon le décret du gouverneur du Kalimantan du Sud.
« Nous avons confisqué 442 tubes remplis et 164 tubes vides ainsi que l’argent de la vente de 1 300 000 IDR », a déclaré Ridwan, accompagné de la chef de l’AKP, Elche Angelina.
Maintenant, le suspect est toujours en cours d’examen et est accusé de l’article 62, paragraphe 1, en liaison avec l’article 10 lettre an de la Loi n° 8 de la République d’Indonésie de 1999 relative à la protection des consommateurs en liaison avec le règlement présidentiel de la République d’Indonésie n ° 71 de 2015 concernant la stipulation et le stockage des biens de base et importants dont les sanctions pénales sont supérieures à 5 ans de prison.
Ridwan a rappelé aux acteurs commerciaux tels que les bases GPL de ne pas essayer de faire des profits excessifs et de violer la loi. Surtout pendant la pandémie de COVID-19, l’impact économique des petites communautés devient de plus en plus difficile.