L’ancien Régent Talaud Sri Wahyumi Soupçonné D’une Affaire De Gratification Bientôt Entendue

JAKARTA - La Commission d’éradication de la corruption (KPK) a remis les dossiers et l’ancien régent présumé des îles Talaud, Sulawesi du Nord, Sri Wahyumi Maria Manalip dans une affaire de gratification au procureur général (JPU). La soumission est faite aujourd’hui.

« L’équipe d’enquête de KPK a terminé la deuxième phase de la soumission de suspects et de preuves à l’équipe de l’UPM parce qu’après des recherches, le dossier a été déclaré complet », a déclaré à la journaliste Ali Fikri, porte-parole par intérim de KPK pour l’application de la loi, le jeudi 26 août.

Dans ce cas de gratification, le KPK a examiné 101 personnes, parmi lesquelles des parties privées et des ASN du gouvernement de régence des îles Talaud.

Après la remise des suspects et des preuves, la détention de Sri Wahyumi est devenue l’autorité du JPU KPK. Il sera de nouveau détenu pendant 20 jours jusqu’au 14 septembre au Rutan KPK à la Maison Rouge et Blanche.

En outre, le procureur dispose de 14 jours pour rédiger l’acte d’accusation et le présenter ensuite au tribunal de Tipikor.

« Le procès est prévu au tribunal de Tipikor sur PN Manado », a déclaré Ali.

Rapporté plus tôt, le KPK a de nouveau désigné l’ancien régent de Talaud, Sri Wahyumi Manalip comme suspect dans l’affaire de gratification liée à des projets de travaux d’infrastructure.

À ce moment-là, il venait de respirer de l’air libre de Lapas Tangerang le mercredi 28 avril parce qu’il avait été prouvé qu’il recevait des pots-de-vin.

Dans cette affaire, Sri a été désigné comme bénéficiaire présumé de la gratification après avoir examiné 100 témoins et confisqué un certain nombre de preuves liées à cette affaire. La réception de l’argent a atteint 9,5 milliards de rands.

Pour ses actes, Sri est soupçonné d’avoir violé l’article 12 B de la Loi n° 31 de 1999 sur l’élimination des actes criminels de corruption telle que modifiée par la Loi n° 20 de 2001 portant amendements à la Loi n° 31 de 1999 sur la lutte contre les actes criminels de corruption.