Français Président Rejette L’histoire De L’effacement Par La Démolition D’une Statue Coloniale
JAKARTA - Français président Emmanuel Macron a exprimé hier, dimanche 14 juin, son plein soutien à la lutte contre le racisme. Néanmoins, il refuse de laisser son pays abattre des statues controversées de figures de l’époque coloniale.
Répondant au mouvement de masse qui était occupé à abattre des statues de figures coloniales, Macron a déclaré qu’il ne permettrait pas cela. « La République n’effacera aucune trace, ou nom, de l’histoire ... Il n’y aura pas de démolition de la statue », a déclaré M. Macron sur Fox News.
Le mouvement de démolition des figures emblématiques de l’esclavage s’est étendu à de nombreux pays. D’abord des États-Unis, puis à l’Europe, jusqu’à récemment, cela s’est produit au Japon.
« Nous devons examiner toute notre histoire ensemble. Y compris les relations avec l’Afrique, l’objectif est de découvrir » la vérité « au lieu de nier qui nous sommes », a déclaré M. Macron.
RéformeMacron admet publiquement que la couleur de peau, le nom et le lieu de résidence d’une personne peuvent influencer le succès d’une personne en France. Mais il a appelé à des garanties que chacun puisse trouver sa « place » dans la société, quelle que soit son origine.
L’une des mesures prises pour démontrer cet engagement, la France a interdit le recours à des procédures de retenue du cou contre les suspects de crime et a promis d’éradiquer les actes de racisme parmi la police.
Sa politique a provoqué la colère de nombreux policiers en décrivant les policiers de tout le pays comme des partisans de la suprématie blanche. En outre, le ministre Français de la Culture a critiqué les efforts visant à retirer les œuvres d’Arfika du musée de Paris.
De son côté, la porte-parole du président Macron Sibeth Ndiaye a publié un essai appelant la France à repenser sa politique d’aveuglement des couleurs qui ignorerait les questions raciales dans le but de promouvoir l’égalité. Il a demandé à la France de faire face à son histoire et de trouver un « récit partagé » concernant son ancien pays colonial.