Ex-KUA Tanah Abang Révèle La Peur Après Avoir épousé La Fille De Rizieq Shihab
JAKARTA - Ancien chef du Bureau des affaires religieuses (KUA) Tanah Abang, Sukana a déclaré qu’il se sentait un mauvais sentiment et la peur après avoir épousé la fille de Rizieq Shihab le 14 Novembre.
Ces aveux ont été transmis par Sukana lors de son témoignage dans l’affaire des violations présumées des protocoles de santé (prokes) pour l’accusé Rizieq Shihab et cinq anciens responsables du Front des défenseurs islamiques (FPI).
Tout a commencé lorsque l’avocat de Rizieq Shihab, Aziz Yanuar, a mentionné les règles régissant la tenue de mariages pendant les manifestants du COVID-19. Puis, Sukana a également décrit plusieurs conditions, dont l’une doit quitter le lieu du mariage.
Cette fois, Sukana mentionne la peur d’elle. Pour une raison quelconque, la peur l’a clairement rendue réticente à se déplacer de l’endroit d’épouser la fille de Rizieq Shihab.
« Il y a un sentiment dans mon cœur qu’il y a une crainte de quitter les lieu, parce que je vois l’atmosphère et les masses », a déclaré Sukana lors d’une audience au tribunal de district de Jakarta-Est, lundi 26 avril.
En entendant les aveux, l’avocat de Rizieq Shihab a mis en doute la cause de cette crainte. En fait, il mentionne les possibilités qui causent une telle peur.
« La foule fait-elle peur ou menace-t-elle ? » demanda Aziz
Sukana a également nié toute menace. La peur était à cause de voir tant de masses. Parce que, dans les règles du mariage dans la pandémie des invités sont très limités.
Alors quand il voit la foule se bousculer, Sukana a peur de ce qui va se passer.
« Il y a une peur du cœur en tant qu’être humain », a déclaré Sukana.
Dans le cas de violations présumées des protocoles de santé à Petamburan, Rizieq Shihab a été accusé de sédition jusqu’à l’apparition de la foule au mariage de sa fille ainsi que la commémoration du maulid Nabi SAW à Petamburan, dans le centre de Jakarta. Cette foule s’est produite au milieu de la pandémie COVID-19.
Ainsi, dans cette affaire, Rizieq a été accusé d’avoir violé l’article 160 du Code pénal jo article 93 de la loi no. 6 de 2018 concernant la quarantaine sanitaire jo Article 55 paragraphe 1-1 du Code pénal et ou article 82 paragraphe 1 jo Article 59 paragraphe 3 lettre c et d Loi n° 16 de 2017 concernant l’Organisation communautaire jo Article 55 paragraphe 1 à 1 code pénal jo Article 10 lettre b code pénal jo Article 35 paragraphe 1 code pénal.