Le président chili nie avoir agressé sexuellement en 2013 : enquête par les autorités chiliennes
JAKARTA - Le président chilien Gabriel Boric a nié les accusations d'abus sexuels d'une femme il y a plus de dix ans, soit en 2013.
« Le président... a rejeté et nié catégoriquement la plainte », a déclaré l’avocat Jonatan Valenzuela dans un communiqué, cité par l’AFP, mardi 26 novembre.
Les allégations ont été signalées au bureau du procureur de Magallanes, où se trouve Boric, le 6 septembre 2024.
Au bureau du procureur de Magallanes, Cristian Cris çok a confirmé le cas présumé de harcèlement sexuel avec Boric signalé soumis par le plaignant à son parti.
« Il y a des affaires pénales liées aux faits énumérés », a-t-il déclaré.
Crisito a déclaré que le bureau du procureur avait formé une équipe spéciale pour enquêter sur la plainte.
Selon Jonatan, le rapport a été soumis par une femme qui avait envoyé 25 courriels à Boric au moment de l’incident présumé.
Jonatan a déclaré que l’e-mail de la femme contenait également des images explicites et que la nature n’était pas basée sur la demande et non sur le consensus.
Plus de 10 ans plus tard, a poursuivi Jonatan, la femme a signalé sans fondement le président actuel du Chili, Gabriel Boric.
Boric, maintenant 38 ans, est soupçonné d’être un incident lorsque le président de 27 ans a obtenu son diplôme de droit.
« Mon client n’a jamais eu de relations émotionnelles ou d’amitié avec lui et ils ne communiquent pas depuis juillet 2014 », a déclaré Jonatan.