Chef de la police de Metro Jaya: Il y a une possible nouvelle suspension dans l’affaire de jeu en ligne entourée par le ministère de la Comdigi

JAKARTA - Le chef de la police de Metro Jaya, Irjen Karyoto, a ouvert la possibilité d’un nouveau suspect dans des affaires de jeu en ligne impliquant des personnels du ministère de la Communication et de l’Informatique (Komdigi). Bien que des dizaines de personnes aient été désignées comme suspects, Karyoto a confirmé que l’enquête est toujours en cours.

« Cela ne exclu pas de la possibilité qu’il y ait de nouveaux suspects ou d’autres preuves qui sont le résultat d’un crime », a déclaré Karyoto dans une déclaration écrite, mardi 26 novembre.

Les enquêteurs qui coopèrent avec le Centre de rapports et d’analyse des transactions financières (PPATK) suivent actuellement les transactions des suspects. Ils analysent également les comptes et autres comptes utilisés par le suspect pour effectuer des dépôts ou des retraits, qui avaient déjà été saisis.

« Bien sûr, dans la divulgation de cette affaire, nous nous coordonnons avec PPATK pour bloquer les comptes et les comptes de commerce électronique connexes », a déclaré Karyoto.

Jusqu’à présent, 24 personnes ont été désignées comme suspects dans cette affaire, dont quatre personnes toujours en fuite. Parmi les suspects, neuf personnes sont employées du ministère de la Comdigi avec les initiales DI, FD, SA, YR, YP, RP, AP, RD et RR. Ils jouent un rôle dans le blocage des sites de jeu en ligne. En outre, un personnel d’experts du ministère de la Komdigi, avec les initiales AK, est également impliqué dans cette affaire.

Les suspects ont été inculpés de l’article 303 du Code pénal et de l’article 27, paragraphe 2, de la loi n° 1 de 2024 sur le deuxième amendement à la loi n° 11 de 2008 sur l’information et les transactions électroniques, ainsi que de l’article 3, de l’article 4 et de l’article 5 de la loi n° 8 de 2010 sur la prévention et l’éradication du crime de blanchiment d’argent Juncto Article 55 du Code pénal et Article 56 du Code pénal.